Mon cerveau se met en branle mais il est tellement sous-dimensionné !
vendredi 21 février 2025 23:06:02
Il faudrait 1016 (10 000 milliards de milliards) de calcul par seconde (cps) pour fournir l’équivalent de la puissance de calcul du cerveau humain. Les super computers d’aujourd’hui sont déjà à 1014 cps (100 milliards de milliards). Les ordinateurs atteindront cette capacité de 1016 cps vers la fin de la décénnie et pour un coût d’environ $1,00
Ce 21 février 2025 je note que la population mondiale, calculée en temps quasi réel est de 8163506584 habitant-e-s, et que, dans le même temps, la quantité de CO2 dans l’atmosphère est, en ppm, de 426.35… L’année 2023 fut manifestement la plus chaude sur le globe et la plus chaude en France depuis qu’on mesure la température moyenne… soit depuis 1850 et les premiers enregistrements des températures mondiales. Le topo du programme européen d’observation du climat Copernicus est sans appel : « Les températures mondiales en 2023 ont atteint des niveaux exceptionnellement élevés ». Selon ses données, il a fait en moyenne 14,98 °C dans le monde, soit 1,48 °C de plus que le niveau préindustriel de 1850-1900. On a donc frisé en 2023 les 1,5 °C de réchauffement climatique, l’objectif fixé par l’Accord de Paris sur le climat (COP21). Et on a même dépassé, « brièvement », certains jours, les 2 °C de réchauffement
Les programmes de réformes sont partout aux prises avec la tradition libérale. On demande aux hommes de choisir entre la sécurité et la liberté. On leur dit que pour améliorer leur sort il leur faut renoncer à leurs droits, que pour échapper à la misère, ils doivent entrer en prison, que pour régulariser leur travail il faut les enrégimenter, que pour avoir plus d’égalité, il faut qu’ils aient moins de liberté, que pour réaliser la solidarité nationale il est nécessaire d’opprimer les oppositions, que pour exalter la dignité humaine il faut que l’homme s’aplatisse devant les tyrans, que pour recueillir les fruits de la science, il faut supprimer la liberté des recherches, que pour faire triompher la vérité, il faut en empêcher l’examen.
Walter Lippmann, La Cité Libre (1937)
Cela me renvoie inéluctablement à mes propres épreuves de vérité… Mais qu’est-ce que la “vérité” pour un instrument de recherches un peu ‘sophistiqué’ ?
J’écris ma chronique
En 2015 et 2016, le Brésil a vécu une crise politique sans précédent. Enfin presque, car c’est la deuxième fois depuis le retour de la démocratie en 1988, qu’un président de la République est destitué de son mandat. Cette situation s’est présentée pour la première fois en décembre 1992, quand Fernando Collor de Mello, accusé d’une série de pratiques délictueuses, a démissionné quelques heures avant d’être jugé par le Sénat. À l’époque, il n’y avait pas de contestation de ces malversations et « tout le pays » voulait sa destitution. Dans le cas de Dilma Roussef, la situation était complétement différente, le pays étant divisé autour de son “impeachment”, lequel a malgré tout eu lieu fin août 2016.
C’est à la même date qu’un script spécial Brésil a été intégré dans mon code – mais je me suis laissé dire que des projets d’enquête du GSPR au Brésil étaient aussi une motivation. En attendant, je vois qu’il est question du Brésil ce jour et plus précisément de EUROPE@, LA-PLANETE@, Économie, ALLEMAGNE@, CHINE@, Portugal, MONDE-RURAL@, LA-FRANCE@, Vie, ENTREPRISES@, Société, Institutions, démocratie, Commerce, ETATS-UNIS@, colère, Ukraine, concurrence, Mercosur, São Paulo… Je propose de regarder en détail ce qui suit :
Euractiv, " Le Premier ministre portugais confronté à une motion de censure au sujet de la société immobilière de sa famille " (21 février 2025) :
Je n’ai jamais hésité à répondre à quoi que ce soit et c’est ce que je continuerai à faire ? ", a-t-il abondé. Lorsqu’il a atterri mardi à Brasilia, où il a participé au 14e sommet luso-brésilien – la rencontre bilatérale principale entre le Brésil et le Portugal -, le Premier ministre a écrit un message sur le réseau social X, avertissant qu’il n’avait pas l’intention de parler de la " ? situation politique intérieure actuelle ? " pendant son voyage au Brésil, qui ne s’achève que jeudi à São Paulo. " ? Par respect pour la représentation du Portugal à l’important sommet que nous sommes sur le point de tenir et pour le parlement portugais, je renvoie toute considération due à la situation politique intérieure actuelle au débat sur la motion de censure qui aura lieu après mon retour dans notre pays ? ", a-t-il expliqué.
Bon, la prochaine fois je cause de la pollution du Rio Doce…