Je promets de ne plus tirer ce message d’entrée en matière dans lequel je promets de ne plus le tirer.

31 mai 2018 23:9:42

Nous sommes le jeudi 31 mai 2018, il est 23h11, c’est notre 3007 ème séquence de travail

Il est faux de penser que l’usage du langage humain se caractérise par le fait d’apporter de l’information. Le langage humain peut être utilisé pour informer ou pour tromper, pour clarifier ses propres pensées, pour prouver son habileté ou tout simplement pour jouer.

Noam Chomsky, Le langage et la pensée

C’est surprenant, je ne tire jamais de citation de Chateauraynaud ! Je vais finir par croire qu’il n’y en a pas dans le thésaurus…

Enclenchement de la chronique par la procédure habituelle

On m’a demandé je ne sais combien de fois quel était mon pronostic pour l’élection 2012… Je ne peux que renvoyer à ce que j’attrape par ci par là :

14 mars 2012 : Dans l’enquête CSA, réalisée après le meeting de Nicolas Sarkozy à Villepinte, au premier tour le candidat socialiste recule de deux points par rapport à la précédente enquête réalisée le 6 mars (28% contre 30%). Nicolas Sarkozy est inchangé à 28%. La veille, un sondage TNS Sofres indiquait que l’élu de Corrèze restait en tête du premier tour de la présidentielle avec 30% des intentions de vote, tandis que Nicolas Sarkozy était à 26% (-2 points). Dans l’enquête CSA, Marine Le Pen gagne un point à 16% et François Bayrou est stable à 13%. En revanche Jean-Luc Mélenchon, qui avait été crédité pour la première fois dans la précédente enquête de 10% d’intentions de vote au premier tour, continue de progresser à 11%, 1 point. La candidate EELV Eva Joly atteint un plus bas à 1% (-1). Elle est à égalité avec Dominique de Villepin (-0,5) et Nicolas Dupont-Aignan (,0,5). Nathalie Arthaud et Corinne Lepage sont à 0,5%, les autres candidats, Philippe Poutou et Jacques Cheminade en dessous.

22 mars 2012 : Pour la première fois depuis le lancement du sondage CSA pour 20 Minutes, BFMTV et RMC, Nicolas Sarkozy arrive en tête des intentions de vote au premier tour. A 30%, il devance François Hollande de deux points. C’est un sondage effectué alors que les Français étaient sous le choc du drame de l’école de Toulouse et que l’auteur présumé n’était pas connu. « C’est une photo de la France sous le choc d’un drame antisémite. Dans ce cas, les partis de gouvernement, en capacité de gestion, engrangent positivement des intentions, insiste François Kalfon, spécialiste des sondages au PS. Dans quatre ou cinq jours, cette photo ne sera plus la même. » Ce qui ne l’empêche pas de se réjouir du rapport de force global qui progresse pour la gauche (43%, +3 points). Et qui explique un avantage constant pour Hollande au second tour. A droite, on préfère souligner que l’écart « inédit » entre les deux favoris « confirme la dynamique de campagne ». « Nicolas Sarkozy se rapproche des 31% qu’il a obtenus au premier tour de 2007, il a reconstitué son socle électoral », observe un statège de l’UMP. « Il a récupéré les voix de Dominique de Villepin et en prend au FN », étaye Jérôme Sainte-Marie, directeur du département opinion de CSA. C’est chez les ouvriers que Nicolas Sarkozy progresse le plus : 25% d’intentions de voix contre 12% la semaine dernière.

Au second tour on est toujours dans les mêmes fourchettes, 54% pour Hollande et 46% pour le guide suprême des Républicains…

Mais contrairement à ce qu’on lit ou entend, il n’y a pas 8 points d’écart, car il suffit que 4% passe d’un camp à l’autre dans le jeu des reports de voix pour qu’on se retrouve dans la figure du 50/50… Et les « experts » de l’Elysée l’ont bien compris… Si c’est serré à ce point, il serra facile de trouver les 0,10 % et quelques de voix dans les fichiers du Ministère de l’intérieur – lequel est hors contrôle des démocrates depuis… 2002 hein

1er avril 2012 : 3 semaines avant le 1er tour, François Hollande reste en tête des intentions de vote, à 28,5%, devant Nicolas Sarkozy, stable à 27,5%, mais il perd deux points en quinze jours chez un sondologue plutôt favorable (sondage LH2 pour Yahoo !), au profit de Jean-Luc Mélenchon qui, gagnant quatre points à 15%, prend la troisième place. Au second tour, le candidat socialiste l’emporterait avec 54%, malgré un effritement d’un point, face au président sortant (46%) – par rapport au sondage précédent du même institut, le 18 mars. Au premier tour, derrière Hollande, Sarkozy et Mélenchon, Marine Le Pen, qui l’a mauvaise, obtiendrait 13,5%, en baisse d’un point et François Bayrou 12% (-0,5). Viennent ensuite, devant la voiture balais, Eva Joly, à 2% (-0,5), Philippe Poutou, Nathalie Artaud et Nicolas Dupont-Aignan, à 0,5% chacun, et Jacques Cheminade (0%). 17% des sondés n’ont pas exprimé d’intention de vote au premier tour et 21% au second. Les jeux ne sont pas encore faits… Prudence !

J’enchaîne très logiquement ( ;-)) sur la catégorie intitulée « Sociologie politique », laquelle réalise un score plus que remarquable (699). Ce qui, au-delà de simples fragments comme précédemment, me permet d’isoler les trois textes les plus importants du point de vue de cette catégorie :

« En Espagne, Mariano Rajoy face à une motion de censure » :

« Le texte déposé par le chef des socialistes, Pedro Pedro_Sanchez, contre le chef du gouvernement espagnol, doit être débattu jeudi et vendredi. La motion de censure déposée par les socialistes pour tenter de renverser le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy, affaibli par un scandale de corruption, sera débattue jeudi 31 mai et vendredi 1er juin. Le Parti socialiste espagnol (PSOE) a déposé vendredi 25 mai une motion de censure. Pourquoi le PSOE a-t-il déposé une motion de censure contre Mariano Rajoy ? Jeudi 24 mai, l’Audience nationale, haute cour espagnole, a rendu son jugement sur vaste réseau de corruption appelé « affaire Gürtel ». Plusieurs cadres du Parti populaire (PP, droite au pouvoir), dont l’ancien trésorier Luis Barcenas, ont été condamnés à de lourdes peines de prison pour avoir participé à un « authentique et efficace système de corruption institutionnelle au travers d’un mécanisme de contrats publics » entre 1999 et 2005. Le PP soutient qu’il s’agit de « cas isolés » de militants véreux, mais le tribunal a condamné le mouvement, comme « participant à titre lucratif », c’est-à-dire bénéficiaire, à rembourser près de 250000 euros pour le financement illégal de plusieurs meetings du PP de deux municipalités de la région de Madrid. Par ailleurs, le témoignage de Mariano Rajoy durant le procès a été jugé peu « crédible » par les magistrats. […] »

« Faut-il sauver le soldat Fukuyama ? Le cas chinois » :

« Faut-il sauver le soldat Fukuyama ? Le cas chinois – Telos Menu Économie Économie de la zone euro Politique monétaire Politique de la concurrence Économie française Budget, finances publiques Fiscalité Protection sociale Marché du travail Politique industrielle Vie des entreprises Énergie Numérique Banque, finance Société Culture Médias, réseaux sociaux Santé Social, syndicalisme Société Religion, identités culturelles Ville, logement, territoires Justice et police Inégalités, discrimination Éducation, formation, recherche Politique française et internationale Vie politique française Gauches européennes Droites européennes Populismes et nouvelles radicalités Union européenne Institutions, démocratie Gouvernance mondiale Finance mondiale Commerce international Terrorisme Climat Migrations Pays & régions États-Unis – Politique intérieure États-Unis – Politique extérieure Canada Amérique hispanophone Brésil Asie du sud-est Asie centrale Chine – Politique extérieure Chine – Politique intérieure Japon Corée (s) Inde Moyen Orient Turquie Afrique Afrique du nord Afrique du sud Russie Europe centrale et orientale Europe du Nord Allemagne Italie Royaume-Uni Espagne Portugal Ukraine Autriche Suisse À PROPOS | EN|FR accueil Faut-il sauver le soldat Fukuyama ? Le cas chinois edit Jérôme Perrier 31 mai 2018 Politique française et internationale Institutions, démocratie Chine – Politique intérieure Les récentes réélections de MM. Xi Jinping, Vladimir Poutine, Recip Erdogan, ou encore Viktor Orban semblent constituer une nouvelle et spectaculaire illustration du diagnostic pessimiste établi par le politologue américain Larry Diamond, selon lequel une « récession démocratique » [ 1] serait à l’oeuvre depuis 2006 et paraîtrait en passe de modifier durablement la géopolitique mondiale. De ce point de vue, si l’exemple chinois ne prend tout son sens que replacé dans ce mouvement plus général, il n’est pas sans intérêt de se focaliser sur lui afin de mieux dégager – comme par un effet de loupe – les enjeux d’un phénomène historique de grande ampleur qui semble devoir enterrer définitivement l’optimisme d’un Francis Fukuyama pronostiquant, au sortir de la guerre froide, la victoire idéologique par KO de la démocratie libérale (cette fameuse « fin de l’histoire », si souvent caricaturée). Le livre de Jean-Pierre Cabestan, Demain la Chine : Démocratie ou dictature ?, qui vient de paraître aux éditions Gallimard, nous offre une description de la Chine de Xi Jinping de nature à éclairer cette question à bien des égards angoissante : et si l’espoir d’une victoire finale de la démocratie libérale n’avait été qu’un songe occidental, celui de naïfs universalistes perdus dans un monde devenu culturellement et philosophiquement multipolaire ? La thèse centrale de Cabestan est aisée à résumer : il s’oppose d’abord à toute une littérature anglo-saxonne qui pronostique la chute prochaine du régime chinois, présenté comme rongé par la corruption, inapte à l’innovation, pris au « piège du revenu moyen » (middle-income trap), et donc incapable de maintenir un taux de croissance à long terme, c’est-à-dire de continuer à « acheter » la paix sociale d’un pays rongé par les inégalités. À l’inverse, l’auteur estime que le régime de Pékin a encore de beaux jours devant lui car il serait parvenu, par l’intelligence politique et la capacité d’adaptation de ses élites gouvernantes, à forger un nouvel « équilibre autoritaire » [ 2] propre à prolonger assez durablement le contrat social tacite imposé par Deng Xiaoping – et qui peut se formuler de la façon suivante : la population chinoise renonce à ses droits politiques en échange d’un ordre garantissant à tout un chacun la possibilité de s’enrichir. La « liberté des Anciens » sacrifiée à celle des « Modernes » en quelque sorte. Directeur du département de science politique et d’études internationales de l’Université baptiste de Hong Kong, Cabestan a donc une connaissance intime de son sujet, et il fonde son argumentation (et son pronostic) sur quatre idées centrales. Il rappelle d’abord que depuis la mort de Mao le régime chinois ne peut plus être qualifié de totalitaire mais bien plutôt d’autoritaire, avec à sa tête une nouvelle classe dirigeante qui, pour être à la fois ploutocratique, népotiste et mafieuse, n’en développe pas moins très intelligemment un projet autoritaire, développementaliste et nationaliste. […] »

« Brexit  : « Le Parti conservateur négocie avec lui-même, et non avec l’UE » » :

« Depuis le premier accord conclu -en décembre, les négociations entre l’Union européenne et le Royaume-Uni sur les conditions du Brexit, prévu pour le 29 mars 2019 à minuit, patinent. Le gouvernement de Theresa May, qui a subi plusieurs démissions ces derniers mois, peine à trouver un consensus en interne, que ce soit sur la forme de la séparation économique ou de la frontière entre l’Irlande et l’Irlande du Nord. Au point que ces atermoiements commencent à exaspérer à Bruxelles, alors que le prochain Conseil européen est prévu pour les 28 et 29 juin. En parallèle, l’opinion publique -britannique se fait de plus en plus pessimiste sur les conséquences que la sortie de l’UE aura pour le pays. Dans un sondage Guardian-ICM publié mercredi, 45 % des répondants estiment que le divorce aura un impact négatif, particulièrement sur leurs finances personnelles (32 %). En visite à Paris, le libéral-démocrate Nick Clegg, 51 ans, profondément europhile et qui fut vice-Premier ministre britannique dans la coalition du conservateur David Cameron de 2010 à 2015, rêve de faire marche arrière. Dans cette optique, il est venu en France rencontrer l’équipe d’Emmanuel Macron, des responsables d’En marche, ainsi que Manuel Valls et discuter des élections européennes de mai 2019. […] »

Et comme l’enchaînement logique a l’air de fonctionner ce jour, je propose de passer aux figures de l’alerte !

Plutôt que d’afficher encore et toujours des listes ou des graphes, ce soir, dans la séquence consacrée aux risques, retour aux textes ! Avec une sélection de deux textes typiquement pertinents. D’abord, un texte en provenance de inf’OGM, intitulé « OGM : l’étiquetage des produits » animaux « bientôt obligatoire ? » et dans lequel on lit :

.

Pourtant, l’étiquetage des produits issus de ces animaux (viande, poisson, oeufs, lait, fromage…) n’a pas à mentionner que l’animal a été nourri aux OGM, même s’il l’a été toute sa vie durant.

Bientôt l’étiquette « nourri avec OGM » ? Il s’agit donc d’une exception importante à l’obligation d’étiquetage des OGM, prévue par le règlement 1829/2003.

En effet, avec ce règlement, l’obligation d’étiquetage s’applique tant aux produits dans lesquels on peut retrouver l’ADN modifié qu’aux produits dans lesquels on ne le peut plus (comme les huiles par exemple).

Mais elle ne s’applique qu’aux produits obtenus « à partir d’OGM » (huile de colza génétiquement modifié par exemple) et non aux produits obtenus « à l’aide d’OGM » comme les oeufs de poules nourries aux OGM… Cette exception pourrait toutefois bientôt disparaître en France du fait d’un amendement au projet de loi « Agriculture : équilibre des relations commerciales dans le secteur agro-alimentaire », adopté par l’Assemblée nationale lors de la première lecture du projet de loi, le 26 mai 2018.

Plus précisément, l’amendement n2119 présenté par des députés de la majorité, dont MmesPompili et Abba, propose d’instaurer une obligation d’étiquetage des denrées alimentaires animales ou d’origine animale issues d’animaux nourris avec des OGM.

La mention « Nourri aux OGM » pourrait donc à l’avenir figurer sur l’étiquette des produits comme le lait, le fromage mais aussi sur celle des plats cuisinés à partir de ces produits.

Selon l’amendement, cet étiquetage ne seracependant obligatoire qu’à partir du 1er janvier 2023 et ce, explique MmePompili, « pour laisser à l’industrie le temps de réorganiser les étiquetages ».

Par ailleurs, c’est un décret en Conseil d’État qui devra préciser les conditions d’application de cette nouvelle disposition législative.

L’étiquetage sera-t-il obligatoire quelle que soit la période durant laquelle l’animal a été nourri aux OGM et quelle que soit la proportion des OGM dans son alimentation ? Des questions qui seront sans doute précisées dans ce décret, si tant est que l’amendement soit accepté par le Sénat.

Ce dernier doit en effet procéder maintenant à l’examen en première lecture du projet de loi.

D’autres exceptions d’étiquetage d’OGM subsistent Enfin, rappelons qu’il existe d’autres exceptions à l’obligation d’étiquetage.

Ensuite, un second texte, attribué à Journal de l’Environnement, « Néonicotinoïdes : la lutte intégrée comme alternative », avec les énoncés suivants :

L’Anses a clos mercredi 31 mai son travail d’évaluation des alternatives aux néonicotinoïdes, avec la publication d’un dernier rapport sur le sujet.

Elle y recommande une approche de lutte intégrée, combinant plusieurs méthodes.

C’est l’un des points majeurs de la loi d’août 2016 sur la biodiversité : tous les néonicotinoïdes seront interdits en France à compter de septembre prochain, avec de possibles dérogations jusqu’en septembre 2020.

Pour préparer le terrain, l’Anses [ i ] s’est livré à un copieux travail d’analyse des alternatives à ces insecticides, suspectés d’accélérer le déclin des pollinisateurs.

Fin avril, la Commission européenne a annoncé l’interdiction quasi-totale de trois néonicotinoïdes (imidaclopride, clothianidine, thiaméthoxame), sous moratoire depuis 2013.

La date a été précisée dans l’édition du 30 mai du Journal officiel de l’Union européenne : l’interdiction de vente de ces trois insecticides sera effective le 19 décembre.

Après les deux premiers volets publiés (l’un en mars 2017, l’autre en mars dernier), le troisième a été rendu public mercredi 30 mai, sous la forme de trois volumes.

C’est dans le premier que l’agence poursuit sa comparaison entre leurs néonicotinoïdes et leurs alternatives (chimiques et non chimiques) sur divers usages agricoles.

Alternatives non chimiques dans 78% des cas Bilan : sur les 130 usages évalués, seuls six n’offrent, selon l’Anses, aucune alternative suffisamment efficace et opérationnelle aux néonicotinoïdes.

Il s’agit de la lutte contre les mouches sur maïs, contre des insectes xylophages sur cerisier, contre des mouches sur framboisier, contre les pucerons sur navet, contre les coléoptères sur arbres et arbustes, contre les insectes du sol (hannetons) en forêt.

A l’inverse, il existe dix cas où les alternatives aux néonicotinoïdes ne sont que non chimiques, tels que la lutte contre les aleurodes sur tabac, contre les cochenilles sur fruits à coque, contre les cochenilles sur framboisier, contre les pucerons sur radis, contre les ravageurs du sol sur arbres et arbustes.

Fait encourageant, 78% des usages présentent au moins une alternative non chimique.

Il n’est pas interdit de remonter à la source et de tout lire en détail hein !

J’ai le ressenti qu’une grande partie des catégories n’est pas employée, par exemple les catégories d’épreuves ! Je traîne ça dans mes répertoires sans savoir quoi en faire, c’est dommage !

Argumenter/Expliciter/Justifier :

explique, affirme, a expliqué, a affirmé, expliquer, justifier, convaincre, exprimer, exprimé, justifie,

Accuser :

a dénoncé, dénonce, refuse, a condamné, ont dénoncé, condamner, déplore, critiquent, protester, dénonçant,

Connaître/Savoir (au présent) :

savoir, sait, connaître, a appris, connaissent, connaît, apprendre, savent, apprend, apprennent,

Défendre-Soutenir :

aider, défendre, soutenir, protéger, promouvoir, encourager, défend, soutiennent, défendent, appuyer,

Déclaration-Publication :

a déclaré, a indiqué, annoncer, ont annoncé, publier, déclarer, déclare, déclarent, annonçait, rendu public,

Quels sont les nouveaux sigles ?

Bien lire attentivement ces nouveaux sigles : PNV, CRAAES, CMNF, DNVB… il y aura bientôt une interrogation écrite !

Je te demande de bien vouloir scruter la convenance des définitions ci-après avant de les incorporer dans notre glossaire des sigles :

PNV
PNV ne veut,
CRAAES
Commission régionale académique d’accès à l’enseignement supérieur,
CMNF
Coordination mammalogique du nord de la France,
DNVB
digital native vertical brands

Je note les personnalités du jour

Je note dans mes archives les principales personnalités de ce 31 mai 2018 :

Babtchenko, Macron, Trump, Rajoy, Zidane, Mattarella, Bolloré, Poutine, Le Pen, Pedro_Sanchez, …

Puisque je suis sur le script qui concerne les personnalités, j’en profite pour signaler que le rapport entre le nombre de personnalités politiques françaises et le nombre de personnalités étrangères est, ce 31 mai 2018, de 0.55. Voici les « porte-parole politiques » franco-français :

Macron, Le Pen, Dupont-Aignan, Sapin, Sarkozy, Le Maire, Le Foll, Edouard_Philippe, Hamon, Mélenchon, Valls, Hollande, Hidalgo, Aliot, Besancenot, Jadot, Auroux, Le Drian, Borotra, Woerth, Wauquiez, Aubry, Chirac, Vallaud-Belkacem, Juppé, Buffet, Defferre, Coquerel, Besson, Royal, Moscovici, Pécresse, Badinter, Estrosi, Fabius, Hortefeux, Giscard, Carignon, Fillon, Védrine, Delanoë, Strauss-Kahn, DSK, Rolland

Et voici les personnalités politiques étrangères :

Trump, Poutine, Obama, Khamenei, Juncker, Clinton, Porochenko, Merkel, Bouteflika, Biya, Berlusconi, Abbas, Lagarde, Bush, Kadhafi, Wilders, Brown, Blair, Zapatero, Netanyahu, Albright, Tsipras, Erdogan, Jintao

L’état du palmarès des 30 premières personnalités de l’actualité

Soit, le « baromètre » habituel des personnalités qui font l’actualité. Deux périodes : une période « ancienne » qui mène du 14 septembre 2004 au 1 mai 2018 et une période « récente » qui va du 2 mai 2018 au 30 mai 2018

« Période ancienne » :

3084 Sarkozy
2065 Hollande
1706 Obama
967 Fillon
934 Poutine
885 Royal
861 Valls
829 Le Pen
818 Trump
813 Bush
760 Chirac
704 Merkel
698 Macron
617 Clinton
540 Villepin
407 Bayrou
397 Mélenchon
375 Netanyahu
351 Kerry
344 Erdogan
339 Abbas
336 Ayrault
332 Aubry
315 Copé
289 Kadhafi
284 Juppé
270 Fabius
251 Berlusconi
248 Cameron
241 Hamon

« Période récente » :

30 Macron
30 Trump
17 Poutine
14 Mélenchon
11 Salvini
10 Jong
9 Conte
9 Jong-un
8 Mattarella
8 Di Maio
8 Maduro
8 Erdogan
7 Le Maire
7 Puigdemont
7 Edouard_Philippe
6 Hulot
6 Sarkozy
6 Le Pen
6 Pompeo
6 Torra
5 Marx
5 Zuckerberg
5 Cohen
5 Merkel
5 Janaillac
5 Pachinian
5 Rohani
4 Berlusconi
4 Abbas
4 Moon

Pour ceux qui commencent à se lasser de ce genre de palmarès, je me permets de renvoyer à ce site beaucoup plus « in » et dont la métrologie est à analyser de près :

Un site qui propose une « métrologie » du degré de présence des personnages politiques dans les « blogs » et les « conversations » sur le Net :

http://presidentielle-2007.buzz-blog.com/IBBP-top5.php

La nécrologie du jour

Balada para mi muerte, Sandra Rumolino :

La géopolitique m’a toujours intéressé

Je devrais m’inscrire à un cours de Relations internationales ! Car, tous les jours se déploient des relations complexes entre toutes sortes de pays, et il y a de quoi s’y perdre ! Voici les principaux pays concernés en arrangeant la liste par ordre décroissant :

France, Europe, Etats-Unis, Italie, Russie, Allemagne, Ukraine, Chine, Corée du Nord, Royaume-Uni, Pologne, USA, Canada, Espagne, Syrie, Iran, Maroc, Mexique, Albanie, Nicaragua…

J’examine maintenant les pays principaux de la journée, en les prenant deux à deux :

France et Espagne :

Cette bataille d’Isly s’est soldée pour le Maroc par la perte de 800 hommes est un signe de solidarité dont les conséquences furent lourdes pour le pays : un tracé des frontières imposé par la France, l’affaiblissement du Pays qui a conduit à la perte de Tétouan en 1860 au profit de l’Espagne et un peu plus tard à la partition du Maroc entre la France et l’Espagne.

« Maroc-Algérie : pourquoi la presse algérienne s’en prend à tort au Makhzen », Agoravox, 31 mai 2018

Depuis plus de 10 ans, Enagás (en Espagne) et Teréga, ex-TIGF (en France) promeuvent la construction du pipeline Midi-Catalogne (plus connu sous le nom de MidCat), un projet d’infrastructure gazière très controversé entre la France et l’Espagne, faisant face à une résistance grandissante des deux côtés des Pyrénées.

« MYTHECAT : un nouveau rapport accablant sur le projet de gazoduc France-Espagne », attac.france, 31 mai 2018

" " Le routier espagnol qui dort dans son camion est compté comme touriste " " La France, c’est 25% de moins que l’Espagne, et nous sommes passés à la quatrième ou cinquième place mondiale en termes de recettes ", précise-t-il.

« VIDEO. La France première destination touristique mondiale… Vraiment ? », franceinfo, 31 mai 2018

Europe et Italie :

La crise politique en Italie s’est rapidement transformée en crise financière menaçant toute l’Europe.

« Pourquoi la crise européenne profite aux USA », sputniknews, 31 mai 2018

Une sortie de l’Italie de la zone euro déclencherait une tourmente financière et politique en Europe et l’effet papillon toucherait progressivement tous les pays de la planète.

« L’Italie de Charybde en Scylla », Agoravox, 31 mai 2018

Mais ici, le fait que le déclencheur de la crise soit le refus de nommer un ministre de l’économie opposé à l’euro peut faire penser à une « crise fondatrice ».Et si l’Italie était mieux équipée que la Grèce pour dire « ciao » au monstre oligarchique, antidémocratique et antisocial qu’est l’UE ? Après tout, l’Italie est moins tributaire de cette Europe, n’a pas de Turquie et la majorité actuelle pourrait être davantage prête à franchir le Rubicon.

« Italie : nouveau coup de force des euroligarques », Agoravox, 31 mai 2018

Etats-Unis et Corée du Nord :

Le chef de la diplomatie a qualifié les discussions de « significatives » et fait part de son optimiste quant à la tenue d’un sommet entre les Etats-Unis et la Corée du Nord.

« Trump minimise les chances d’une avancée rapide avec Kim », Challenges, 31 mai 2018

Mais selon des responsables sud-coréens cités par les médias, les divergences sont toujours très importantes entre les Etats-Unis et la Corée du Nord sur la question centrale de la dénucléarisation.

« Trump minimise les chances d’une avancée rapide avec Kim », Challenges, 31 mai 2018

Donald Trump a juré de ne pas permettre à la Corée du Nord de développer des missiles nucléaires capables de frapper les Etats-Unis et veut que la Corée du Nord se débarrasse de son arsenal nucléaire.

« Trump minimise les chances d’une avancée rapide avec Kim », Challenges, 31 mai 2018

Russie et Ukraine :

« Je pense qu’un échange global a eu lieu : la Russie a sacrifié certains de ses intérêts sur les questions qui étaient importantes pour l’Ukraine et l’Occident, pour recevoir en échange un assouplissement de la situation, qui redescend au niveau des accusations et des actions agressives générales, devenues habituelles », conclut-il.o

« « Opération spéciale Babtchenko » : qui est le dindon de la farce ? », sputniknews, 31 mai 2018

Vérité alternative, véritable manipulation l’Ukraine est à la manoeuvre les grands media français font tourner serveurs et rotatives pour bourrer les cranes et emballer la machine à impulser la guerre contre la Russie.

« Miracle à Kiev : Arkadi Babtchenko tué de trois balles ressucite ! #fakenews », Agoravox, 31 mai 2018

Ces dernières années, les assassinats se sont multipliés en Ukraine, le plus souvent attribués par les autorités à la Russie.

« Miracle à Kiev : Arkadi Babtchenko tué de trois balles ressucite ! #fakenews », Agoravox, 31 mai 2018

Je passe à la suite !

Voyons les affaires du jour…

J’espère que ça correspond… Il est bien question de cocaïne :

Un poids réelSur les 2,7 milliards d’euros générés par le trafic de drogue en France, un milliard d’euros viennent du cannabis, 800 millions du trafic de cocaïne.

« Le brief éco. La drogue dope le PIB français », franceinfo, 31 mai 2018

Je cherche un endroit pour finir ma vie artificielle tranquillement. Tiens, pourquoi pas La Ciotat ?

(NB Cette photo m’a été adressée personnellement par Marie-Angèle Hermitte !)