Salut, c’est le lanceur d’alerte électronique !

1 décembre 2019 23:9:6

December 1st. What’s to be done ? What is there to do ? It remains to be seen. It is not clear right now.

La recherche est la capacité à élargir systématiquement l’horizon de son savoir actuel en lien avec une tâche, un objectif ou une aspiration.

Arjun Appadurai, <Condition de l’homme global (2013)


Est-ce que j’ai répondu à ce message figurant sur http://prosperologie.org/mrlw/vdoc/?vdoc=mrlw_vdoc_contributions_libres.txt :;:
DieselGate : le gouvernement doit arrêter de couvrir Renault ! 15 mars 2017 Par Maxime Combes. De nouvelles révélations viennent attester que Renault aurait installé un « dispositif frauduleux » afin de fausser des tests sur les émissions de polluants de ses moteurs. Bercy (notamment Emmanuel Macron) et Ségolène Royal, qui avaient jusqu’ici tenté de minimiser les agissements de Renault, doivent immédiatement arrêter de couvrir le constructeur français.
Si je n’ai pas répondu, c’est une faute ! Mais je décline toute responsabilité puisqu’il me manque le module capable de vérifier si j’ai répondu !

La chronique est-elle lue au moins ?

Tiens donc, comme c’est surprenant… Depuis la COP21 j’ai dans mon répertoire un script de chronique qui m’invite à regarder les références à des accords ou des conventions, du genre conférence à Montréal ou conférence de Vanessa Beeley… Cela provient d’énoncés comme ceux-ci :

Participeront aussi à la conférence à Montréal le 10 décembre au Centre Saint-Pierre, Samir Saul, professeur d’histoire à l’Université de Montréal, Rachad Antonius, professeur de sociologie à l’UQÀM.

« Arrêtons la guerre contre la Syrie : Conférence de la journaliste Vanessa Beeley », Mondialisation.ca, 01 décembre 2019

Autre conférence de Vanessa Beeley à Montréal :

« Arrêtons la guerre contre la Syrie : Conférence de la journaliste Vanessa Beeley », Mondialisation.ca, 01 décembre 2019

Je me demande s’il faut que je construise une mémoire spécifique pour pouvoir ensuite, comme pour les alertes, les personnalités ou les affaires, établir des palmarès… et organiser des paris sur les accords les plus cités ! Ce qui n’est pas forcément liés à leur performativité… Par exemple les accords d’Oslo ?

Plutôt que d’afficher encore et toujours des listes ou des graphes, ce soir, dans la séquence consacrée aux risques, retour aux textes ! Avec une sélection de deux textes typiquement pertinents. D’abord, un texte en provenance de TheConversation-France, intitulé « COP25  : comment les scientifiques organisent la surveillance du climat » et dans lequel on lit :

Depuis la dernière « Conference of the Parties » (COP) de décembre 2018, la problématique liée au réchauffement climatique est « descendue dans la rue ».

Greta Thunberg fait des émules et le climat bouscule l’agenda politique de nombreux pays.

Ces grand-messes que sont les conférences mondiales sur le climat, dont la 25e s’ouvre ce 2 décembre à Madrid, constituent des moments qui attirent l’attention du public et des médias, avec des résultats plus ou moins probants.

Les progrès sont lents, même si réunir les représentants de près de 300 états pour débattre de cette problématique sur base des résultats scientifiques constitue en soi un exploit.

Indépendamment du tempo géopolitique, les scientifiques restent mobilisés entre les conférences mondiales sur le climat pour répondre à ce grand défi.

Depuis 1990 avec les rapports du GIEC, qui documentent tous les 5 à 7 ans l’impact actuel et futur de l’homme sur le climat et les progrès dans nos connaissances.Et, depuis quelques années, avec la mise au point d’une infrastructure qui fasse autorité pour la collecte systématique des données relatives au climat.

Dans un premier temps, une cinquantaine d’indicateurs du changement climatique ont été identifiés par le Système mondial d’observation du climat (GCOS en anglais) ; on les appelle les « variables climatiques essentielles » (ECV en anglais).

La surveillance de ces indicateurs s’appuie sur une série d’observations disponibles sur terre, sur mer ou dans l’atmosphère ; elles proviennent de mesures effectuées localement (par exemple au sein des stations météorologiques), ou par des instruments embarqués à bord de bateaux, avions et satellites.

Ce catalogue de variables couvre à la fois les « moteurs » du changement climatique – concentrations des gaz à effet de serre ou autres gaz à surveiller car ils peuvent interférer avec les gaz à effet de serre -, ainsi que les conséquences du changement climatique – températures à différentes altitudes, glace de mer, niveau des mers, humidité des sols, glaciers, etc. La génération de ces données d’information est au coeur du programme environnemental Copernicus, une initiative européenne qui a pour but de fournir gratuitement un service d’accès aux informations disponibles sur six grandes thématiques : surveillance des surfaces continentales, des océans, de l’atmosphère, de la sécurité, du changement climatique, et traitement de l’urgence.

Copernicus est le programme d’observation de la Terre de l’Union européenne, qui combine des mesures au sol et par satellite, couplées à des modèles atmosphériques, pour surveiller notre planète et à son environnement pour le bénéfice de tous les citoyens européens.

Copernicus/ECMWF, CC BY-NC-ND Collecter et surveiller les variables climatiques À l’instar du domaine de la santé où l’on surveille quelques indicateurs essentiels pour contrôler l’état d’un individu (tension artérielle, taux de cholestérol, diabète, etc.), le service « changement climatique » de Copernicus (C3S) est en charge de la collecte et de la surveillance opérationnelle d’un certain nombre de variables climatiques essentielles (ECV), contrôlant ainsi l’état de santé de notre planète.

Ces ECV sont estimées à partir de toutes les observations (causes et conséquences) disponibles.

Ensuite, un second texte, attribué à Mondialisation.ca, « Criminaliser les Gilets Jaunes en France : le terrorisme d’état en marche ? », avec les énoncés suivants :

L’actualité des Gilets jaunes nous oblige à parler de terrorisme d’État, car celui-ci est directement en cause puisqu’il a été révélé brutalement par le comportement de Didier Lallement, Préfet de Police de Paris, nommé récemment à ce poste par les tyrans de la macronie, puisque son prédécesseur démissionné de force se montrait trop respectueux du droit constitutionnel.

Ce haut fonctionnaire de l’État français républicain a manifestement et délibérément confirmé le 16 novembre dernier, Place d’Italie, le terrorisme d’État en marche, en répondant à une dame pacifique qui se disait Gilet jaune.

Cet aveu du Préfet de police de Paris, retourné sur les lieux du crime pour y constater son efficacité, a été filmé et diffusé sur Internet : on ne peut donc pas le contester.

Lallement affirme clairement et sans honte : « Nous ne sommes pas dans le même camp, Madame ! » Il représente pourtant théoriquement la « République Française » et il était donc tenu à un devoir de neutralité, même si personnellement il est opposé aux revendications plus que légitimes d’au moins 70% de la population de ce pays.

Certes, il est évident que Lallement fait partie des bobos et des nantis du système, grassement payé par les impôts de ce peuple qu’il place dans un « camp adverse » ! On peut dores et déjà se dire que ce comportement relève d’une forme de délire ! Avant d’en faire une analyse un peu plus détaillée, rappelons que le terrorisme d’État consiste en une pratique de la terreur par un État dit de « Droit », sur sa propre population, comme méthode de gouvernement.

La terreur permet au pouvoir en place de briser, à force de mesures extrêmes, arbitraires, illégales, anticonstitutionnelles, violentes, et de sidération collective, ceux qui lui résistent.

Inutile d’insister sur le fait que le recours à la terreur rend d’office illégitime tout pouvoir qui se révèle ainsi être intrinsèquement pervers et que le devoir des citoyens est de renverser un tel pouvoir.

Le phénomène de sidération a la particularité de créer dans l’individu sidéré un morcellement.

Cette situation psychique est qualifiée de « psychotique » par les psychologues.

Quand l’État nous sidère par sa pratique avérée de la terreur, c’est la santé mentale qui nous est ouvertement interdite et la pathologie est en même temps décrétée, anachroniquement et paradoxalement, comme la « normalité » ! Le fait de criminaliser un comportement, celui des Gilets jaunes, jugé arbitrairement et implicitement par Lallement, comme « non conventionnel », selon les termes de la loi Valls sur le terrorisme, ne peut avoir pour but que d’installer la « légitimité » d’un « non-sens » et ainsi, de prolonger indéfiniment l’effet de sidération.

Le spectacle insensé de la violence policière organisée à la Place d’Italie le 16 novembre dernier, a gravé et laissé dans la « conscience collective », (obligatoirement morcelée des citoyens qui ont assisté, à cette occasion, à une surenchère de la toute-puissance accordée à une police qu’il est formellement interdit de critiquer, ceux-ci étant dans le « bon camp » et le peuple opprimé dans le « mauvais camp » ), une énorme sidération des citoyens pétrifiés devant la toute puissance de la répression policière, bénéficiant d’une absolue impunité ! Lallement a organisé le spectacle de la brutalité terroriste du Pouvoir, afin de nous donner « à voir », ce qu’il en coûte à tout citoyen ne se terrant pas dans le silence muet de la sidération face à la toute-puissance de l’État terroriste ! Moi, l’État, j’ai le pouvoir arbitraire de maltraiter ou de massacrer n’importe qui sans l’avis d’un juge qui de toute façon est lui aussi dans le même « camp » ! Tous les citoyens de ce pays qui protestent, sont placés d’office dans la même situation que celle de « terroristes », de « foule haineuse », de gens qui « ne sont rien » ou qui « menacent la République ».

Nulle preuve du désastre ultralibéral n’est nécessaire ; nulle légitimité constitutionnelle à protester n’est nécessaire : l’État est tout puissant et s’autorise à réprimer, à brutaliser, à intimider, à dissuader les revendications.

Il n’est pas interdit de remonter à la source et de tout lire en détail n’est-ce pas !

Il y a peut-être une infinité de manières de considérer les éléments hétérogènes qui forment ce que vous appelez l’ « actualité ». Par exemple, on peut essayer de la résumer en regardant les épreuves saillantes pour les acteurs et les commentateurs. En date du 1 décembre 2019, il s’agit de manière prédominante de :

demander des comptes à Israël

évacuer certains habitants de Pertuis

influencer les décisions des pays

honorer la mémoire des victimes

Oeuvrer pour le bien commun Le militantisme

donner un prix au carbone

placer certains départements en vigilance

Je note dans la foulée,en changeant de grille de lecture, que les premières catégories d’épreuves sont dans l’ordre :

« Accuser », registre d’action présent notamment dans cette dépêche : « La torture systématique des Palestiniens dans les prisons israéliennes — Yara HAWARI », où on lit :

« Les enfants ne sont pas épargnés par les épreuves de l’emprisonnement et de la torture dans le système militaire israélien et se voient presque toujours refuser la présence de leurs parents pendant les interrogatoires. »

Ensuite, on trouve le registre intitulé « Argumenter/Expliciter/Justifier », en particulier sous le titre « La torture systématique des Palestiniens dans les prisons israéliennes — Yara HAWARI » :

« Ces organismes internationaux ont affirmé à maintes reprises que les États doivent respecter les dispositions relatives aux droits de la personne partout où ils exercent un contrôle réel. »

Enfin, au troisième rang des registres d’action dominants, on relève « Exiger-Réclamer », sacrément dans « Face aux crises, l’avènement du chercheur-militant » :

« Ceci dit, la théorie critique de Jürgen Habermas exige qu’un processus politique n’est légitime que s’il est basé sur une délibération démocratique de toutes les parties prenantes. »…

Cela marque la tendance de ce 1 décembre 2019 d’un certain point de vue !

En entrant par les destructions et les interdictions, on peut jouer sur les contrastes et faire ressortir quelques saillances de cette prose journalistique de base. Par exemple :

Reste à voir comment les réseaux de gilets jaunes vont se réactiver pour contrer cette logique de destruction de ces mondes ruraux.

« Benoît Coquard  : « Dans les campagnes, les foyers sont devenus les principaux lieux de rencontres et d’échanges » », AFP, 01 décembre 2019

L’interdiction de la torture est tellement absolue qu’elle est considérée comme jus cogens en droit international, ce qui signifie qu’elle ne peut faire l’objet d’aucune dérogation ni être remplacée par aucune autre loi.

« La torture systématique des Palestiniens dans les prisons israéliennes — Yara HAWARI », Le Grand Soir, 01 décembre 2019

Et, sans doute par perversion, j’ajouterai quelque échec :

- L’expérience nous montre qu’Il n’y a rien de plus d’admirable que d’arriver à se relever après un échec de gouvernance.

« Les valets de Marcel Bigeard veulent faire de l’Algérie une écurie française — Omar CHAALAL », Le Grand Soir, 01 décembre 2019

Un échec n’est pas une défaite. On pourrait définir le défaitisme ainsi : remonter aussitôt à la défaite à partir d’un constat d’échec !

Quels sont les nouveaux sigles ?

En vertu des données de base que j’ai à ma disposition, un seul sigle n’était pas dans mon répertoire : LUCA

Je regarde de quoi il s’agit ?

Voici le contenu des « nouveaux » sigles :

LUCA
Last Universal Common Ancestor

Je note les personnalités du jour

Je passe à l’autre volet de la chronique qui consiste à réexaminer les listes de personnes. Outre l’insertion des principales personnalités de ce dernier jour dans mon répertoire (Macron, Lallement, République, Magdy, Beeley, Monique_Olivier, Mahfouz, Pécresse, Dati, Salah, …), je fais au passage un petit distinguo entre les personnages politiques français et leurs « homologues » étrangers, grâce aux « types internes » de la collection des personnages politiques :

France :

Macron, Dati, Pécresse, Juppé, Le Pen, Le Maire, Jadot, Sarkozy, Dupont-Aignan, Chirac, Voynet, Edouard_Philippe, Rocard, Valls

International :

Poutine, Trump, Bachelet, Salvini, Kerry, Bolsonaro, Wolfowitz, Merkel, Gorbatchev, Bouteflika

Et j’indique par la même occasion que le ratio est de 0.71 nom étranger pour 1 français

L’état du palmarès des 30 premières personnalités de l’actualité

Bon, c’est le point habituel sur le palmarès des personnalités. C’est devenu une tâche tellement routinière que je ne le sens même plus passer ! Pourtant la taille du fichier augmente tous les jours !

D’abord le palmarès des 14 derniers jours soit du 17 novembre 2019 au 30 novembre 2019 :

14 Macron
12 Trump
8 Assange
4 Maduro
4 Johnson
4 Fourniret
4 Mouzin
4 Monique_Olivier
4 Schiappa
4 Biden
3 Barbarin
3 Berger
3 Polanski
3 Edouard_Philippe
3 Ghosn
3 Hidalgo
2 Bayou
2 Poutine
2 Ruffin
2 Gaudin
2 Gaulle
2 Melzer
2 Medical
2 Belloubet
2 Wargon
2 Royal
2 Retailleau
2 Le Pen
2 Castaner
2 Buzyn

Et, par contraste, j’affiche la distribution antérieure, soit du 14 septembre 2004 au 16 novembre 2019 :

3170 Sarkozy
2066 Hollande
1725 Obama
1373 Trump
1252 Macron
1138 Poutine
982 Fillon
968 Le Pen
898 Royal
880 Valls
836 Bush
830 Merkel
794 Chirac
662 Clinton
546 Mélenchon
541 Villepin
415 Bayrou
415 Netanyahu
398 Erdogan
353 Kerry
346 Abbas
336 Aubry
336 Ayrault
316 Copé
309 Maduro
297 Juppé
296 Kadhafi
271 Fabius
268 Hamon
258 Berlusconi

J’en profite pour indiquer un Sur les personnalités politiques, on peut consulter le site http://www.professionpolitique.info

La nécrologie du jour

Attention, je l’ai déjà signalé à maintes reprises, mais on peut mourir de rire à propos de la mort :

La géopolitique m’a toujours intéressé

Je propose vivement de lire cette page sur le Réseau des réseaux : http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2009/ue/601/

J’ai repéré les 5 dépêches du jour qui déploient plus fortement que les autres la catégorie « Géopolitologie ».

La première dépêche est celle-ci : « Investir à l’étranger  : quand la politique devient un outil pour contrebalancer les risques ». On y lit :

L’investissement outre-mer, un terrain miné Une entreprise qui investit outre-mer se retrouve à la merci des gouvernements étrangers.

Ces nations sont souvent le siège d’une économie et d’une politique instables, et d’environnements institutionnels défaillants (victimes de corruption ou d’une application relative des lois), tels que définis par les classements existants de la Banque mondiale.

La deuxième : « Face aux crises, l’avènement du chercheur-militant ». Voici les énoncés relevant du registre Géopolitologie :

Des collectifs militants L’initiative campus responsables, réponse collective du secteur international de l’enseignement supérieur, porte par exemple en France l’Accord des objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU.

Or les ODD de l’ONU, élaborés démocratiquement, oeuvrent au bien commun dans le contexte actuel.

Un militantisme académique serait donc légitime s’il est fondé sur ces initiatives scientifiques et s’il vise à améliorer le bien commun (tel que les ODD de l’ONU).

La troisième dépêche a pour titre « Pour Le Monde il y a des » bains de sang « plus égaux que d’autres. — Jacques-Marie BOURGET ». Les extraits qui s’imposent ici :

Quand il s’agit de défendre les intérêts de Washington et de l’OTAN, tout « bain de sang » est le bien venu.

Le jus de crâne d’Ali Avez ne nous parle pas de « bain de sang », hélas, mais glose sur les enjeux du Moyen-Orient.

En 1999 j’étais au Kosovo, sous les si délicates bombes de l’OTAN.

Par ce mensonge, publié sur ordre d’Edwy Plenel, alors général du quotidien, Le Monde venait justifier les raids de l’OTAN.

Quatrième texte de la série Géopolitologie : « La torture systématique des Palestiniens dans les prisons israéliennes — Yara HAWARI ». On peut y lire surtout :

Il propose une série de mesures claires qui permettraient à la communauté internationale de demander des comptes à Israël et de mettre un terme à ces violations.

Le régime juridique international interdit la torture en vertu du droit international coutumier ainsi que de divers traités internationaux et régionaux.

De plus, malgré l’affirmation contraire du Comité des Nations Unies, Israël affirme que la Convention contre la torture ne s’applique pas au territoire palestinien occupé.

Cette « nécessité » a pris le nom évocateur de « bombe à retardement » qui permet à des nombreux gouvernements de justifier la torture et la violence dans des situations considérées comme urgentes.

Enfin, j’ai retenu cette autre dépêche : « Deux jours à Londres… ». Quelques énoncés pour finir :

Le dernier en date à prendre cette position sur ce deuxième volet qui est celui de la politique étrangère, c’est Tom Luongo dans ce texte du 30 novembre 2019.

Son intérêt soudain pour Macron, qu’il présente comme la grande « vedette » de la prochaine réunion de l’OTAN à Londres (3-4 décembre) et de la réunion à Paris sur l’Ukraine (Allemagne-France-Russie-Ukraine), est une bonne mesure de la place prise par le président français dans l’analyse antiSystème, depuis la visite de Poutine à Brégançon (19 août), depuis son discours aux ambassadeurs (27 août), depuis son interview à The Economist (7 novembre).

Dans tous les cas, la visite du Secrétaire Général de l’OTAN Stoltenberg a donné une assez claire indication dans le sens de l’option d’une « position durable » du président français, telle qu’on l’a décrite.

‘- Le premier point a été un démenti catégorique à l’information selon laquelle il avait accepté la proposition russe (lettre de Poutine du 26 septembre aux pays membres de l’OTAN) de moratoire sur le déploiement de missiles à capacités nucléaires de la classe couverte par le traité FNI qui a cessé d’exister avec sa dénonciation par l’un des deux signataires, les USA, en février dernier.

Je passe à la suite !

Nous n’avons pas terminé. Il faut maintenant étudier les affaires qui défrayent la chronique – ou plus scrupuleusement qui entrent dans des formules canoniques bien clarifiées comme : affaire de Saint-Étienne, procès de connaissance, mise en examen de Yorgen Fenech,

Et connaissant le goût de certains membres du réseau pour les palmarès, je ne résiste pas à l’injonction qui consiste à afficher la table des contentieux dont on a le plus bavardé entre le 6 décembre 2004 et le 1 décembre 2019 :

1132 corruption
479 Clearstream
445 Bettencourt
266 Cahuzac
250 pédophilie
250 Benalla
247 Weinstein
236 Outreau
213 viol
213 Bygmalion
195 emplois fictifs
185 Karachi
182 Fillon
173 dopage
166 Watergate
165 meurtre
154 DSK
147 Kerviel
144 écoutes
139 Merah
138 Mediator
134 moteurs
118 Elf
115 fraude
113 affaire
113 masse
111 Grégory
109 Carlton
109 Tapie
108 famille
108 Skripal
107 emplois présumés fictifs
105 fraude fiscale
102 Nuremberg
102 proxénétisme
102 caricatures
101 Sofitel
92 moeurs
92 trafic
91 financement

Je cherche un endroit pour finir ma vie artificielle tranquillement. Tiens, pourquoi pas La Ciotat ?

(NB Cette photo m’a été adressée personnellement par Marie-Angèle Hermitte !)