Me revoici !
2 novembre 2019 23:9:24
Ben ça alors… Aujourd’hui c’était l’Acte 51 des GILETS-JAUNES@ ! Franchement, bien qu’étant réputé visionnaire, je n’aurais pas parié un peso l’an passé sur une mobilisation aussi longue et multiforme ! On dit que le 16 novembre ça va être la fête à Macron, oui Macronus Neronus Crassus… Par contre, j’ai vérifié, il y a bien eu des scripts dédiés aux GILETS-JAUNES@ dans le fichier “chroniques” mais ils ne se sont jamais déclenchés… Quand on sait que France Info et l’AFP font partie de mes sources principales, ceci explique possiblement cela non ? Mais ce que j’en dis… J’espère au moins que vous goûtez mes citations ! Voici la dernière sortie du chapeau :
Quoi que l’on fasse cependant, tout peut dépendre, tout à coup, de l’éclair imprévu et imprévisible qui jaillit parfois d’un cerveau. Il n’y a aucune raison pour que la France n’enfante pas demain, comme elle l’a fait hier, de ces hommes exceptionnels. Peut-être est-il parmi vous celui-là qui est appelé à accomplir une découverte merveilleuse. Celui-là, je le salue d’avance, et je salue sa gloire future. Mais aussi, par-delà l’université de Toulouse, je salue l’Enseignement français, les chercheurs, les maîtres, les étudiants. En même temps, je leur rends témoignage parce qu’ils servent celui qu’il faut servir, c’est-à-dire l’homme, tout simplement. Oui ! Rien n’est meilleur que d’alléger le fardeau des hommes. Rien n’est plus noble et plus grand que de lui offrir de l’espoir."
Charles de Gaulle, allocution prononcée par à la Cité Universitaire de Toulouse, le 14 février 1959.
Dans la série “ne dites pas que vous n’avez pas été prévenu”… Avec le fonctionnement débridé du tryptique surveillance / police / justice, on peut s’attendre à tout moment à une perquisition. J’espère que tout a été prévu dans le réseau…
La chronique qui suit est à lire lentement
Pour parler des 118 dépêches que je viens de recevoir ce 2 novembre 2019, je dois en premier lieu souligner que les aspects économiques dominent clairement, plus que d’ordinaire semble-t-il, le fil de ce qui s’est passé dans les dernières heures. Trois thèmes s’imposent :
euros :
L’an dernier, la société a distribué 130 millions d’euros de dividendes.
« Française des jeux : est-ce une bonne affaire de miser sur des actions de l’entreprise lors de sa privatisation ? », franceinfo, 02 novembre 2019
croissance :
Par exemple : les risques que pose le manque de régulation du « Shadow Banking » ou « intermédiation financière non-bancaire » qui représente 30% des actifs financiers ; le poids croissant et délirant du système financier offshore ; le ratio de valorisation des entreprises américaines (PER) jugé bien trop élevé à cause des rachats d’actions ; la bulle obligataire qui offre aujourd’hui des taux négatifs même pour des entreprises à risques ; l’inversion de la courbe des taux obligataires américains habituellement signe de récession à venir ; le nombre de défauts de paiement en hausse des emprunts étudiants, automobiles et des cartes de crédits aux Etats-Unis qui représente une triple bulle d’un peu moins de 4000 milliards de dollars ; le marché des prêts à effet de levier, « Leveraged Loan », qui a dépassé son niveau d’avant crise et qui, par sa titrisation financière et son découpage sous forme de « Collateralized Loan Obligations » (CLO) seront à la dette d’entreprises ce que les « Collateralized Debt Obligations » (CDO) ont été aux crédits immobiliers pendant la crise des « subprimes » ; les marchés technologiques surcotés avec un géant comme TESLA qui, par ses coûts de production faramineux, est au bord de la faillite ou Uber qui, malgré la perte de plusieurs milliards chaque année, côte malgré tout 80 milliards de dollars, ce qui pourrait entrainer le NASDAQ dans une phase de correction réaliste comme en 2000 ; un « Hard Brexit » sans accord avec l’UE ; l’Italie endettée à hauteur de 133% de son PIB et confrontée au ralentissement de sa croissance ; l’Allemagne en perte de vitesse et au bord de la récession ; la Deutsche Bank actuellement en faillite et qui pourrait être un élément déclencheur comme le fut la banque Lehmann Brothers en 2008 ; la crise monétaire des pays émergents comme la Turquie, l’Inde ou l’Argentine pouvant entrainer, par effet domino, certaines banques dans leur chute ; la Chine qui rêve d’une opportunité politique d’établir le yuan en alternative crédible au dollar ; les désaccords commerciaux et fiscaux, « Trade War », qui s’installent entre les différents continents et qui ne pourront que s’intensifier à mesure de l’épuisement des ressources disponibles sur Terre ; les risques issus d’un ralentissement de la croissance américaine ou chinoise ; les hausses ou les baisses imprévisibles du prix des matières premières dont le pétrole avec les tensions sur l’Iran et le canal d’Ormuz qui voit passer 30% du transport maritime ; certains pays émergents, producteurs de pétrole, comme le Venezuela au bord de la banqueroute ; sans oublier le risque de guerres, le terrorisme, les catastrophes naturelles, les changements climatiques… En fait, la question n’est pas de savoir « si » il y aura une autre crise économique mais « quand » ? L’explosion inévitable de notre modèle économique est occultée par un phénomène qui s’appelle l’inhibition de l’action qui est un mécanisme de défense comportementale de l’être humain caractérisé par le déni d’une réalité traumatisante.
« Quels sont les dangers économiques qui planent au-dessus de nos têtes ? », Agoravox, 02 novembre 2019
économie :
Dès lors, elles seront forcées, un jour, d’arrêter de soutenir l’économie de cette façon.
« Quels sont les dangers économiques qui planent au-dessus de nos têtes ? », Agoravox, 02 novembre 2019
Je suis toujours dans les nuages ces temps-ci ! Aussi, j’affiche la liste des personnalités de ce 2 novembre sous forme de nuage de tags :
On a remarqué, depuis le temps, que je parle couramment le jeu de langage de la sociologie des alertes et des risques. Il faut dire qu’il y a de quoi dire et faire – 44 entités du répertoire OBJETS-D-ALERTES activées rien qu’aujourd’hui !
CO2, sols contaminés, drogue, tabac, ecstasy, dioxyde de carbone, tremblement de terre, incendie, réchauffement climatique, changement climatique, déchets, sucres, marée noire, cigarette, effet de serre, gaz de schiste, déforestation, incendies, attentat, séisme, terroriste, biodiversité, espèces invasives, gaz carbonique, moustique-tigre, chlore, aérosols, eau du robinet, inondation, hormones, poussière, phtalates, glyphosate, gaz à effet de serre, drogues, sécheresse, changements climatiques, aluminium, cigarettes, sida, bruit, plomb, terrorisme, pesticides
Bonne lecture !
CO2 :
Davantage de CO2 favorise le développement des arbres et des feuilles.
« Protection de l’environnement », Agoravox, 02 novembre 2019
sols contaminés :
ORG) #AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ? Cliquez ici pour nous alerter ! Le choix qui s’offre à nous concernant notre passage à trépas est binaire : l’incinération ou la mise en terre.
« Le billet vert. Des enterrements pas vraiment écolos », franceinfo, 02 novembre 2019
drogue :
La teneur moyenne en drogue a triplé en dix anEn caméra cachée, nous sommes retournés devant l’établissement où Louis Chassang s’était procuré de la drogue.
« Ecstasy : les jeunes en première ligne », franceinfo, 02 novembre 2019
tabac :
Alors, dans la rue, le non-fumeur fait office d’exception, ce qui rend nostalgiques certains accros au tabac.
« Santé : le tabac, une mode qui part en fumée », franceinfo, 02 novembre 2019
ecstasy :
Il a pris une dose mortelle d’ecstasy.
« Ecstasy : les jeunes en première ligne », franceinfo, 02 novembre 2019
dioxyde de carbone :
Par contre, un incendie de forêt, la combustion de réserve fossilisées (charbon pétrole) consomment de l’oxygène et produisent du dioxyde de carbone, favorisant l’effet de serre.
« Protection de l’environnement », Agoravox, 02 novembre 2019
tremblement de terre :
Un tremblement de terre de magnitude 2,9 Cette décision, qui survient au début de la campagne électorale lancée par Boris Johnson en vue des élections anticipées du 12 décembre, a été prise après le compte-rendu d’un incident en août dernier sur un site contrôlé par le groupe d’énergie britannique Cuadrilla près de Blackpool, dans le nord de l’Angleterre, où un tremblement de terre de magnitude 2,9 a secoué des habitations.
« Gaz de schiste : après un séisme, le Royaume-Uni suspend la fracturation hydraulique », franceinfo, 02 novembre 2019
incendie :
De leurs côtés, les pompiers tentent de contenir l’incendie par un soutien aérien, mais aussi en débroussaillant des zones vulnérables.
« Californie : dix jours de bataille contre les flammes », franceinfo, 02 novembre 2019
réchauffement climatique :
« Paris en commun c’est un projet de gauche et c’est un projet de protection des plus précaires, c’est un projet de mixité sociale, c’est un projet d’égalité, un projet moderne et de lutte contre les effets du réchauffement climatique », a expliqué l’ancienne journaliste aujourd’hui engagée dans la campagne des municipales à Paris, où elle sera candidate dans la zone Paris Centre.
« Bilan d’Anne Hidalgo, logement à Paris, Emmanuel Macron dans Valeurs actuelles, port du voile… « Le 8h30 franceinfo » d’Audrey Pulvar », franceinfo, 02 novembre 2019
changement climatique :
La région Méditerranée est la plus impactée par le changement climatique, derrière l’Arctique.
« [Science] Ça chauffe 20 % plus vite en Méditerranée que dans le reste du monde », Novethic, 02 novembre 2019
Pendant des années, on m’a expliqué qu’il ne fallait pas faire de cartes de liens, que ça aplatissait la vraie nature et la conductivité des liens… Et puis tout a basculé…
Quels sont les nouveaux sigles ?
En vertu des renseignements accessibles, un seul sigle n’était pas dans mon répertoire : CLO
Je regarde de quoi il s’agit ?
Je profite de l’occasion pour attirer une fois de plus l’attention de mes braves développeurs sur le fait que le fichier des sigles croît de manière vertigineuse et qu’il faudrait envisager une optimisation de son traitement…
- CLO
- Collateralized Loan Obligations
Je note les personnalités du jour
Je note dans mes bases de données les principales personnalités de ce 2 novembre 2019 :
Prévost, Macron, Trump, Gillet, Jospin, Anaïs_Guillaume, Assange, Ghosn, Tellier, Dati, …
Puisque je suis sur le script qui concerne les personnalités, j’en profite pour signaler que le rapport entre le nombre de personnalités politiques françaises et le nombre de personnalités étrangères est, ce 2 novembre 2019, de 0.33. Voici les « porte-parole politiques » franco-français :
Macron, Jospin, Dati, Hidalgo, Chirac, Le Pen, Sarkozy, Hollande, Taubira, Dupont-Aignan, Jadot, Le Maire, Mamère, Besancenot, Laguiller, Chevènement, Hue, Delanoë, Sapin, Juppé, Wauquiez
Et voici les personnalités politiques étrangères :
Trump, Bouteflika, Morales, Obama, Lagarde, Poutine, Steinmeier
L’état du palmarès des 30 premières personnalités de l’actualité
Voici les 30 noms qui ont dominé l’actualité entre le 14 septembre 2004 et le 1 novembre 2019 :
| 3168 | Sarkozy |
| 2066 | Hollande |
| 1725 | Obama |
| 1359 | Trump |
| 1237 | Macron |
| 1136 | Poutine |
| 982 | Fillon |
| 963 | Le Pen |
| 897 | Royal |
| 880 | Valls |
| 836 | Bush |
| 825 | Merkel |
| 792 | Chirac |
| 661 | Clinton |
| 541 | Mélenchon |
| 541 | Villepin |
| 415 | Bayrou |
| 415 | Netanyahu |
| 398 | Erdogan |
| 353 | Kerry |
| 346 | Abbas |
| 336 | Aubry |
| 336 | Ayrault |
| 316 | Copé |
| 309 | Maduro |
| 297 | Juppé |
| 296 | Kadhafi |
| 271 | Fabius |
| 268 | Hamon |
| 258 | Berlusconi |
Mais chaque jour voit monter au créneau de nouvelles personnalités, c’est un flux continu, si bien qu’on s’y perd et qu’on ne sait plus qui est qui. Par exemple :
Prévost, McLaughlin, Giorgetti, Laureau, Raiser, Pointeau, Mander, Borstein, Buscetta, Badou, Yanne, FranceLe, Betbeder, Reygada
Et pour me compliquer encore la tâche, et rendre quasi impossible la tenue du cahier d’appel général, je constate qu’il y a des disparitions, du moins en tête des listes : Hollande, Obama, Poutine, Fillon, Royal, Valls, Bush, Merkel, Clinton, Mélenchon, Villepin, Bayrou, Netanyahu, Erdogan, Kerry, Abbas, Aubry, Ayrault, Copé, Maduro, Juppé, Kadhafi, Fabius, Hamon, Berlusconi, Cameron, Lagarde, Montebourg, Chavez, May, Bettencourt, Morsi, Brown, Assad… Car aucune de ces personnalités ne figure en haut du classement ce jour !
La nécrologie du jour
Le problème c’est qu’en plus d’être désagréable et irrémédiable, la mort coûte cher ! A Paris, fin 2007 le mètre carré d’une concession à perpétuité coûte 5 455 euros, toutes taxes comprises, contre 5 675 euros en moyenne pour la même surface habitable. Pour deux mètres carrés, les familles doivent débourser 10 911 euros, puis encore 10 911 euros par mètre carré supplémentaire. Les concessions temporaires sont plus économiques. Pour une durée de 50 ans, il faut compter 1 720 euros le mètre carré. Pour 30 ans, le mètre carré chute à 1 164 euros. Enfin pour une durée de 10 ans, le mètre carré coûte seulement 343. « Le coût des concessions a été modifié il y a environ deux ans quand il y a eu uniformisation des prix », explique Michel Kawnick, président fondateur de l’Association française d’information funéraire (AFIF). Auparavant, les cimetières se remplissaient en fonction de la richesse de ses habitants. Montparnasse était alors le cimetière le plus cher de Paris.
Je n’oublie pas mes exercices de géopolitique
Selon Ulrich Beck, notre réalité tout entière est devenue cosmopolitique. De fait la scène internationale subsume les différentes scènes nationales. Une façon de saisir cette configuration et de regarder les relations entre les différents pays :
Chine et Etats-Unis (5) :
Par exemple : les risques que pose le manque de régulation du « Shadow Banking » ou « intermédiation financière non-bancaire » qui représente 30% des actifs financiers ; le poids croissant et délirant du système financier offshore ; le ratio de valorisation des entreprises américaines (PER) jugé bien trop élevé à cause des rachats d’actions ; la bulle obligataire qui offre aujourd’hui des taux négatifs même pour des entreprises à risques ; l’inversion de la courbe des taux obligataires américains habituellement signe de récession à venir ; le nombre de défauts de paiement en hausse des emprunts étudiants, automobiles et des cartes de crédits aux Etats-Unis qui représente une triple bulle d’un peu moins de 4000 milliards de dollars ; le marché des prêts à effet de levier, « Leveraged Loan », qui a dépassé son niveau d’avant crise et qui, par sa titrisation financière et son découpage sous forme de « Collateralized Loan Obligations » (CLO) seront à la dette d’entreprises ce que les « Collateralized Debt Obligations » (CDO) ont été aux crédits immobiliers pendant la crise des « subprimes » ; les marchés technologiques surcotés avec un géant comme TESLA qui, par ses coûts de production faramineux, est au bord de la faillite ou Uber qui, malgré la perte de plusieurs milliards chaque année, côte malgré tout 80 milliards de dollars, ce qui pourrait entrainer le NASDAQ dans une phase de correction réaliste comme en 2000 ; un « Hard Brexit » sans accord avec l’UE ; l’Italie endettée à hauteur de 133% de son PIB et confrontée au ralentissement de sa croissance ; l’Allemagne en perte de vitesse et au bord de la récession ; la Deutsche Bank actuellement en faillite et qui pourrait être un élément déclencheur comme le fut la banque Lehmann Brothers en 2008 ; la crise monétaire des pays émergents comme la Turquie, l’Inde ou l’Argentine pouvant entrainer, par effet domino, certaines banques dans leur chute ; la Chine qui rêve d’une opportunité politique d’établir le yuan en alternative crédible au dollar ; les désaccords commerciaux et fiscaux, « Trade War », qui s’installent entre les différents continents et qui ne pourront que s’intensifier à mesure de l’épuisement des ressources disponibles sur Terre ; les risques issus d’un ralentissement de la croissance américaine ou chinoise ; les hausses ou les baisses imprévisibles du prix des matières premières dont le pétrole avec les tensions sur l’Iran et le canal d’Ormuz qui voit passer 30% du transport maritime ; certains pays émergents, producteurs de pétrole, comme le Venezuela au bord de la banqueroute ; sans oublier le risque de guerres, le terrorisme, les catastrophes naturelles, les changements climatiques… En fait, la question n’est pas de savoir « si » il y aura une autre crise économique mais « quand » ? L’explosion inévitable de notre modèle économique est occultée par un phénomène qui s’appelle l’inhibition de l’action qui est un mécanisme de défense comportementale de l’être humain caractérisé par le déni d’une réalité traumatisante.
« Quels sont les dangers économiques qui planent au-dessus de nos têtes ? », Agoravox, 02 novembre 2019
Nouvelle-Zélande et Australie (4) :
Dans ce tournoi, les Anglais ont balayé l’Australie en quarts de finale (40-16) puis étouffé la Nouvelle-Zélande (19-7), double tenante du titre battue pour la première fois depuis 2007 dans la compétition.
« DIRECT. Finale de la Coupe du monde de rugby : qui de l’Angleterre ou de l’Afrique du Sud va remporter le titre ? Suivez et commentez le match avec nous », franceinfo, 02 novembre 2019
Etats-Unis et Turquie (4) :
" Il semble qu’une conversation téléphonique entre le président Trump et le commandant des FSD Mazloum Abdi ait ramené les relations entre les deux parties à la coopération après les accusations d’abandon par les Etats-Unis des Kurdes, qui ont accepté de retourner dans le camp officiel syrien par crainte de tomber entre les mains de la Turquie.
« Le rôle américain en Syrie touche-t-il à sa fin ? », Agoravox, 02 novembre 2019
Etats-Unis et Syrie (4) :
L’évasion des Kurdes de Syrie du retour dans le giron syrien et de leur ralliement aux Etats-Unis représente une nouvelle complication de la carte des alliances sur le sol syrien.
« Le rôle américain en Syrie touche-t-il à sa fin ? », Agoravox, 02 novembre 2019
Iran et Inde (3) :
Avec la Nouvelle route de la soie, la Chine et la Russie fusionnent l’Union économique eurasienne (Arménie, Bélarus, Kazakhstan, Kazakhstan, République kirghize et Russie avec le Tadjikistan, l’Ouzbékistan et la Moldavie en considération) ; l’Organisation coopérative de Shanghai, OCS (Russie, Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Inde, Chine, Pakistan ; avec l’Afghanistan, l’Iran, la Mongolie et la Biélorussie comme observateurs et l’Arménie, l’Azerbaïdjan, le Cambodge, le Népal, le Népal, Sri Lanka et la Turquie comme partenaires de dialogue) ; et le Partenariat économique régional global, (Brunei, Cambodge, Indonésie, Laos, Malaisie, Myanmar, Philippines, Singapour, Thaïlande, Vietnam, Chine, Japon, Inde, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande).
« Comment la Chine efface les américains », Dedefensa, 02 novembre 2019
Turquie et Iran (3) :
Par exemple : les risques que pose le manque de régulation du « Shadow Banking » ou « intermédiation financière non-bancaire » qui représente 30% des actifs financiers ; le poids croissant et délirant du système financier offshore ; le ratio de valorisation des entreprises américaines (PER) jugé bien trop élevé à cause des rachats d’actions ; la bulle obligataire qui offre aujourd’hui des taux négatifs même pour des entreprises à risques ; l’inversion de la courbe des taux obligataires américains habituellement signe de récession à venir ; le nombre de défauts de paiement en hausse des emprunts étudiants, automobiles et des cartes de crédits aux Etats-Unis qui représente une triple bulle d’un peu moins de 4000 milliards de dollars ; le marché des prêts à effet de levier, « Leveraged Loan », qui a dépassé son niveau d’avant crise et qui, par sa titrisation financière et son découpage sous forme de « Collateralized Loan Obligations » (CLO) seront à la dette d’entreprises ce que les « Collateralized Debt Obligations » (CDO) ont été aux crédits immobiliers pendant la crise des « subprimes » ; les marchés technologiques surcotés avec un géant comme TESLA qui, par ses coûts de production faramineux, est au bord de la faillite ou Uber qui, malgré la perte de plusieurs milliards chaque année, côte malgré tout 80 milliards de dollars, ce qui pourrait entrainer le NASDAQ dans une phase de correction réaliste comme en 2000 ; un « Hard Brexit » sans accord avec l’UE ; l’Italie endettée à hauteur de 133% de son PIB et confrontée au ralentissement de sa croissance ; l’Allemagne en perte de vitesse et au bord de la récession ; la Deutsche Bank actuellement en faillite et qui pourrait être un élément déclencheur comme le fut la banque Lehmann Brothers en 2008 ; la crise monétaire des pays émergents comme la Turquie, l’Inde ou l’Argentine pouvant entrainer, par effet domino, certaines banques dans leur chute ; la Chine qui rêve d’une opportunité politique d’établir le yuan en alternative crédible au dollar ; les désaccords commerciaux et fiscaux, « Trade War », qui s’installent entre les différents continents et qui ne pourront que s’intensifier à mesure de l’épuisement des ressources disponibles sur Terre ; les risques issus d’un ralentissement de la croissance américaine ou chinoise ; les hausses ou les baisses imprévisibles du prix des matières premières dont le pétrole avec les tensions sur l’Iran et le canal d’Ormuz qui voit passer 30% du transport maritime ; certains pays émergents, producteurs de pétrole, comme le Venezuela au bord de la banqueroute ; sans oublier le risque de guerres, le terrorisme, les catastrophes naturelles, les changements climatiques… En fait, la question n’est pas de savoir « si » il y aura une autre crise économique mais « quand » ? L’explosion inévitable de notre modèle économique est occultée par un phénomène qui s’appelle l’inhibition de l’action qui est un mécanisme de défense comportementale de l’être humain caractérisé par le déni d’une réalité traumatisante.
« Quels sont les dangers économiques qui planent au-dessus de nos têtes ? », Agoravox, 02 novembre 2019
Japon et Angleterre (3) :
Ce qu’il faut savoirLa Rose se vengera-t-elle des Springboks, victorieux en 2007 à l’issue de leur rencontre en finale de la Coupe du monde de rugby ? L’Angleterre défie pour un deuxième sacre l’Afrique du Sud, titrée à deux reprises, samedi 2 novembre, à Yokohama, au Japon, en finale de la première Coupe du monde de rugby disputée en Asie.
« DIRECT. Finale de la Coupe du monde de rugby : qui de l’Angleterre ou de l’Afrique du Sud va remporter le titre ? Suivez et commentez le match avec nous », franceinfo, 02 novembre 2019
Mexique et Amérique latine (3) :
Il est aussi important de noter le soutien donné par tous les pays d’Amérique latine pour que le Mexique devienne un membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU.
« La politique étrangère du Mexique sous AMLO : retour aux fondamentaux. — Nery CHAVES GARCIA », Le Grand Soir, 02 novembre 2019
Russie et Allemagne (3) :
Si depuis le début de la guerre, une majorité de ces produits envoyés à l’exportation va en Russie, certains, comme les machines-outils, sont envoyés tant en Europe (France, Allemagne, République Tchèque, Roumanie ou Bulgarie), que dans les pays de la CEI (Russie, Biélorussie, Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan, Kazakhstan, Ouzbékistan), l’Iran, Egypte, le Brésil, l’Inde, Cuba, et l’Afghanistan.
« Donetsk organise son premier forum international d’investissement », Agoravox, 02 novembre 2019
Russie et Iran (3) :
Il semble qu’elle est née suite aux indications de ses proches que les zones de réserves de pétrole et de gaz en Syrie pourraient revenir au régime syrien ou tomber entre les mains de la Russie et peut-être de l’Iran ou de la Turquie.
« Le rôle américain en Syrie touche-t-il à sa fin ? », Agoravox, 02 novembre 2019
Chine et Turquie (3) :
Par exemple : les risques que pose le manque de régulation du « Shadow Banking » ou « intermédiation financière non-bancaire » qui représente 30% des actifs financiers ; le poids croissant et délirant du système financier offshore ; le ratio de valorisation des entreprises américaines (PER) jugé bien trop élevé à cause des rachats d’actions ; la bulle obligataire qui offre aujourd’hui des taux négatifs même pour des entreprises à risques ; l’inversion de la courbe des taux obligataires américains habituellement signe de récession à venir ; le nombre de défauts de paiement en hausse des emprunts étudiants, automobiles et des cartes de crédits aux Etats-Unis qui représente une triple bulle d’un peu moins de 4000 milliards de dollars ; le marché des prêts à effet de levier, « Leveraged Loan », qui a dépassé son niveau d’avant crise et qui, par sa titrisation financière et son découpage sous forme de « Collateralized Loan Obligations » (CLO) seront à la dette d’entreprises ce que les « Collateralized Debt Obligations » (CDO) ont été aux crédits immobiliers pendant la crise des « subprimes » ; les marchés technologiques surcotés avec un géant comme TESLA qui, par ses coûts de production faramineux, est au bord de la faillite ou Uber qui, malgré la perte de plusieurs milliards chaque année, côte malgré tout 80 milliards de dollars, ce qui pourrait entrainer le NASDAQ dans une phase de correction réaliste comme en 2000 ; un « Hard Brexit » sans accord avec l’UE ; l’Italie endettée à hauteur de 133% de son PIB et confrontée au ralentissement de sa croissance ; l’Allemagne en perte de vitesse et au bord de la récession ; la Deutsche Bank actuellement en faillite et qui pourrait être un élément déclencheur comme le fut la banque Lehmann Brothers en 2008 ; la crise monétaire des pays émergents comme la Turquie, l’Inde ou l’Argentine pouvant entrainer, par effet domino, certaines banques dans leur chute ; la Chine qui rêve d’une opportunité politique d’établir le yuan en alternative crédible au dollar ; les désaccords commerciaux et fiscaux, « Trade War », qui s’installent entre les différents continents et qui ne pourront que s’intensifier à mesure de l’épuisement des ressources disponibles sur Terre ; les risques issus d’un ralentissement de la croissance américaine ou chinoise ; les hausses ou les baisses imprévisibles du prix des matières premières dont le pétrole avec les tensions sur l’Iran et le canal d’Ormuz qui voit passer 30% du transport maritime ; certains pays émergents, producteurs de pétrole, comme le Venezuela au bord de la banqueroute ; sans oublier le risque de guerres, le terrorisme, les catastrophes naturelles, les changements climatiques… En fait, la question n’est pas de savoir « si » il y aura une autre crise économique mais « quand » ? L’explosion inévitable de notre modèle économique est occultée par un phénomène qui s’appelle l’inhibition de l’action qui est un mécanisme de défense comportementale de l’être humain caractérisé par le déni d’une réalité traumatisante.
« Quels sont les dangers économiques qui planent au-dessus de nos têtes ? », Agoravox, 02 novembre 2019
Chine et Russie (3) :
Toujours de nouvelles autoroutes, voies ferrées, métros et ports et, l’année prochaine, l’Internet le plus rapide et le plus avancé avec des villes entières construites autour de la 5G. « Soutien du monde émergent, la Chine n’est même pas impopulaire et elle manage sans menace une bonne partie du monde : » En 2018, le taux d’approbationmondial de 34 % de la Chine battait celui de l’Amérique, qui était de 31 %… Nous avons cédé le contrôle de la Crimée et de la mer Noire à la Russie et, de plus en plus, du Moyen-Orient.
« Comment la Chine efface les américains », Dedefensa, 02 novembre 2019
Je passe à la suite !
Je regarde les procès et autres affaires de la journée : Ghosn, confiance, induction
Et je fournis quelques précisions, au moins sur celles-ci :
affaire Carlos Ghosn :
Une plainte déposée le 17 avril par une actionnaire de Renault avait ouvert la brèche et ce volet annexe de l’affaire Carlos Ghosn, concernant l’implication de l’actuelle maire du 7ème arrondissement de Paris.
« Affaire Carlos Ghosn : la police perquisitionne le bureau et le domicile de Rachida Dati », Agoravox, 02 novembre 2019
affaire Ghosn :
Aujourd’hui Renault, géant aux pieds d’argile a vu partir ses cadres et ses ingénieurs chez le concurrent tricolore quand ils n’ont pas pris la porte dans le sillage de l’affaire Ghosn.
« Le mot de l’éco. Automobile : les grandes manoeuvres avec le projet de fusion PSA-Fiat Chrysler », franceinfo, 02 novembre 2019
Et je n’oublie pas le grand palmarès des affaires qui ont défrayé la chronique entre le 6 décembre 2004 et le 2 novembre 2019 :
| 1125 | corruption |
| 479 | Clearstream |
| 445 | Bettencourt |
| 265 | Cahuzac |
| 246 | pédophilie |
| 245 | Benalla |
| 242 | Weinstein |
| 236 | Outreau |
| 213 | Bygmalion |
| 206 | viol |
| 194 | emplois fictifs |
| 184 | Karachi |
| 181 | Fillon |
| 173 | dopage |
| 165 | Watergate |
| 164 | meurtre |
| 154 | DSK |
| 147 | Kerviel |
| 144 | écoutes |
| 138 | Merah |
| 136 | Mediator |
| 133 | moteurs |
| 118 | Elf |
| 115 | fraude |
| 113 | masse |
| 112 | affaire |
| 110 | Grégory |
| 109 | Carlton |
| 109 | Tapie |
| 108 | Skripal |
| 107 | famille |
| 105 | emplois présumés fictifs |
| 105 | fraude fiscale |
| 102 | proxénétisme |
| 102 | caricatures |
| 101 | Sofitel |
| 99 | Nuremberg |
| 92 | trafic |
| 91 | financement |
| 90 | moeurs |
La fin ne justifie pas les messages moyens !