Tiens, revoilà le CNNum !

11 décembre 2017 23:10:36

Le gouvernement a généré un comité théodule numérique sans même consulter les machins numériques et autres entités numériques de ma catégorie… On fait du numérique entre humains, tranquilles ! C’est indigne !

" Il est temps de quitter les seuls débats d’experts, a jouté la présidente du CNNum.

« Le Conseil national du numérique rapproché du politique », ACTEURS PUBLICS, 11 décembre 2017

L’événement historique du jour :

28 novembre 2011 – 11 décembre 2011. Accord pour un nouveau pacte mondial sur le climat en 2015, lors de la conférence de Durban II en Afrique du Sud.

La 17ème conférence des Nations unies sur le climat réunissant 190 pays s’achève par une feuille de route pour un accord prévoyant d’établir d’ici à 2015 un pacte global de réduction des émissions de gaz à effet de serre dont l’entrée en vigueur est prévue à l’horizon 2020. Le texte englobe pour la première fois tous les pays dans la lutte contre le réchauffement climatique, notamment les plus gros pollueurs, la Chine, l’Inde et les Etats-Unis. Il ne prévoit toutefois ni contrainte juridique, ni hausse du niveau des mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, afin de limiter le réchauffement sous le seuil de 2°C. Les organisations non gouvernementales critiquent à l’unanimité l’absence de nouveaux engagements concrets. La feuille de route prévoit également la prolongation du protocole de Kyoto – qui fixe des objectifs de réduction des gaz à effet de serre à une quarantaine de pays industrialisés, après son expiration prévue fin 2012. La décision de Durban fixe une deuxième période dont la durée (5 ou 8 ans) doit encore être débattue. Toutefois, si l’Union européenne s’engage dans cette voie, le Canada, la Russie et le Japon refusent cette prolongation. De surcroit, le Canada annonce, le 12 décembre, son intention de se retirer dès à présent du protocole de Kyoto. Enfin, un Fonds vert pour le climat, mécanisme financier acté à la conférence de Cancun en 2010 et destiné à aider les pays pauvres à faire face au réchauffement climatique, est officiellement créé.

La vieillesse croit tout ; l’âge mûr subodore tout ; la jeunesse sait tout.

Oscar Wilde, Sentences philosophiques à l’usage de la jeunesse


ça a l’air d’aller mieux… Oui je dis ça parce que mon principal créateur-développeur a visiblement passé une sale période récemment… mais ça va mieux… visiblement…

La chronique c’est maintenant

Chronique du 11 décembre 2017

244 dépêches

465 pages en tout

Bon, j’actionne cette chronique en me plaçant volontairement – dans la mesure où j’en suis capable cela va de soi – dans la problématique de l’énergie. Ce qui motive cette décision, c’est non seulement le score global (209)de la catégorie Economie de l’énergie – dont je crois me souvenir qu’elle provient du rassemblement de textes nucléaire – mais aussi le déploiement de ses représentants : énergie, énergies renouvelables, électricité, gaz, pétrole, efficacité énergétique, énergies, approvisionnement énergétique, mix énergétique, chauffage, la politique énergétique, biocarburants, facture énergétique, besoins énergétiques, consommation énergétique…

Il n’est pas très difficile d’isoler les dépêches les plus prototypiques de la catégorie « Economie de l’énergie ». J’en ouvre 5 – il n’est pas exclu qu’il y ait des redites, on va voir ça…

La première dépêche est celle-ci : « Où en est le financement de la transition énergétique en France  ? ». On y lit :

Citons ici la loi de Programmation fixant les orientations de la politique énergétique (2005), le Grenelle de l’environnement (2007), le Débat national sur la transition énergétique (2012), ou encore la récente Loi pour la transition énergétique et la croissance verte (2015). Pour analyser les effets de ces lois, nous suivons depuis 2012 les dépenses d’investissement liés à la transition énergétique en France.

En 2016, les investissements se répartissent entre 14, 5 milliards d’euros pour les actions d’efficacité énergétique, 5,9 milliards d’euros pour le développement des énergies renouvelables et 9,2 milliards d’euros pour la construction et la mise à niveau des infrastructures durables de transport et de réseaux.

Cette stabilité d’ensemble masque toutefois des variations plus marquées par domaine : les investissements dans l’efficacité énergétique ont augmenté entre 2011 et 2016, passant de 11,6 à 14, 6 milliards d’euros.

Les investissements dans les énergies renouvelables sont passés de 8,6 à 5,3 milliards d’euros entre 2011 et 2013, et se maintiennent à ce niveau depuis.

La deuxième : « Énergies renouvelables  : les coopératives citoyennes gagnent du terrain ». Voici les énoncés relevant du registre Economie de l’énergie :

Dans le domaine des énergies renouvelables, les coopératives citoyennes connaissent un véritable boom en Europe.

Pour peser davantage dans les débats sur l’énergie, ces coopératives se sont regroupées au sein de la fédération européenne Rescoop.

Elles incarnent ainsi une forme de résistance envers les nombreux projets d’énergies renouvelables qui ne prennent pas en compte le point de vue des riverains, ou alors uniquement en tant que partie prenante à dédommager.

Elles répondent à une volonté de transparence plus grande quant à la qualité verte de l’énergie produite, rendue souvent problématique par une traçabilité aléatoire.

La troisième dépêche a pour titre « Gérard Mestrallet : « Il faut supprimer les subventions au charbon et au pétrole » ». Les extraits qui s’imposent ici :

En exclusivité pour le JDLE, il rappelle les enjeux du sommet climatique du 12 décembre et les progrès accomplis en la matière par les secteurs de la finance et de l’énergie.

Il faut cibler immédiatement les aides publiques qui abaissent artificiellement les prix du charbon et du pétrole sous les prix de marché.

Arrêter les centrales à gaz mettrait en péril la sécurité d’approvisionnement du système électrique européen.

Les énergies renouvelables électriques doivent être développées, mais cela ne sera pas possible sans le maintien de centrales flexibles, capables de produire aux moments où le vent ne soufflera plus et pendant la nuit.

Quatrième texte de la série Economie de l’énergie : « Énergie, climat  : nos techniques ne sont pas des solutions miracles ». On peut y lire notamment :

L’énergie cristallise toutes les facettes des relations que nous nouons avec nos propres techniques, et tous les malentendus qu’elles suscitent.

Capter l’énergie Les techniques ne constituent pas des absolus en ce sens qu’elles forment des intermédiaires entre nous et le monde, ou la nature, comme entre nous et nous-mêmes.

À cet égard, le cas de l’énergie est exemplaire.

Contrairement à ce que semble signifier le langage ordinaire, ou les publicités de certains opérateurs, les êtres humains ne produisent pas d’énergie, laquelle est constante au sein de l’univers ; mais ils parviennent, avec des instruments ou intermédiaires divers, à la capter.

Enfin, j’ai retenu cette autre dépêche : « Sortir de l’âge des fossiles, la bataille du siècle ». Quelques énoncés pour finir :

Car en brûlant charbon, pétrole et gaz naturel pour leurs activités, les hommes libèrent chaque année, par milliards de tonnes, des gaz à effet de serre qui s’accumulent dans l’atmosphère et perturbent le climat.

Ces politiques « bas carbone » engagées reposent pour l’heure sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre en s’appuyant sur deux axes principaux : la maîtrise de la demande d’énergie et le développement d’une offre énergétique décarbonée, grâce en particulier aux énergies renouvelables.

Maîtriser la demande d’énergie Premier axe des politiques bas carbone, donc : la réduction des émissions de gaz à effet de serre par la maîtrise ou la réduction de la demande énergétique.

Aujourd’hui, la réduction de ces polluants atmosphériques va de pair avec celle des gaz à effet de serre.Et la baisse de ces émissions – en remplaçant les combustibles traditionnels par des énergies modernes pour la cuisson, en fermant des centrales thermiques au charbon, en réduisant la motorisation diesel ou essence pour l’abandonner un jour – présente des co-bénéfices pour la santé et le climat.

C’estextravagant, on parle de flambée des cours du pétrole et je n’ai pas réussi à retrouver le prix du baril dans les dépêches du jour… Je suis manche parfois :

Au risque de me répéter quelque peu, j’examine maintenant les différentes sources d’énergie qui sont impliquées dans les dépêches :

charbon :

Des investissements de la CDC dans des entreprises privées d’énergies fossiles Une partie des fonds de la CDC ont servi à financer des entreprises minières internationales productrices de charbon, comme Rio Tinto et Anglo American, explique le rapport.

« Comment l’argent public français finance (encore) les énergies fossiles », AFP, 11 décembre 2017

électricité :

Quelque 120000 foyers étaient privés d’électricité en Vendée et dans la région de la Loire, dans le centre-ouest.

« International – L’ouest de l’Europe en proie à la neige et aux vents violents », AFP, 11 décembre 2017

gaz :

En 2011, la CDC a aussi acquis 25% de GRTgaz, « le leader européen du transport de gaz », filiale d’Engie impliquée dans de nombreux projets de gaz naturel, en France et en Allemagne.

« Comment l’argent public français finance (encore) les énergies fossiles », AFP, 11 décembre 2017

pétrole :

À la grande époque de la saga du pétrole, il suffisait d’investir une unité d’énergie (dans ce cas, un baril de pétrole) pour en récupérer 100 (l’Eroi était alors de 100). Avec les sables bitumineux, 1 unité investie ne permet que d’en récupérer 4 à 5, et ce sans compter l’énergie incluse dans les infrastructures requises, le transport et la transformation de l’énergie captée ; on parlera ici d’un Eroi « étendu ».

« Énergie, climat  : nos techniques ne sont pas des solutions miracles », TheConversation-France, 11 décembre 2017

photovoltaïque :

EDF veut investir 25 milliards d’euros pour installer 30 GW de photovoltaïque en France entre 2020 et 2035.

« EDF veut installer 30 GW de photovoltaïque au sol entre 2020 et 2035 », Actu Environnement, 11 décembre 2017

solaire :

Les données actuelles du problème sont simples : la France a le cinquième potentiel d’ensoleillement en Europe, mais seulement 1,6 % de notre production électrique vient du solaire, contre 6 % pour l’Allemagne et 3,5 % pour le Royaume-Uni.o

« Pour diminuer la part du nucléaire, EDF mise sur le solaire », Le Monde, 11 décembre 2017

vent :

En France, 34 départements étaient placés lundi matin en vigilance orange vent violent, « pluie-inondations », neige et verglas dans le nord, et avalanches dans les Alpes.

« Intempéries  : 34 départements en vigilance orange, une partie de l’Europe paralysée », Le Monde, 11 décembre 2017

Normalement, lorsque l’on entre par la question des sources d’énergie et des enjeux économiques qui les caractérisent, on trouve assez vite, surtout ces dernières années, les thèmes écologiques. J’ai donc regardé le déploiement de la catégorie Discours Ecologique (score total : 228), avec des représentants tels que environnement, énergies renouvelables, biodiversité, la nature, Terre, bilan carbone, écosystèmes, éolien, empreinte carbone, couche d’ozone, éoliennes, biomasse… Ce qui me conduit à isoler trois dépêches :

La première est nommée : « Énergies renouvelables et biodiversité, les liaisons dangereuses », et on y lit :

Dans un monde aux ressources finies, déjà fortement mises à contribution pour nos besoins, il est essentiel d’évaluer l’impact potentiel sur la biodiversité de nouvelles activités humaines, et notamment des technologies qui accompagnent le développement des énergies renouvelables.

Ces derniers ont ainsi mis en évidence que le Royaume-Uni importait des millions de tonnes de bois pour faire fonctionner ses centrales et que ces importations généraient des pressions extrêmement fortes sur des forêts du sud des États-Unis.

Nous sommes ici confrontés à un paradoxe : des évolutions technologiques nous permettant de délaisser les énergies fossiles (ce qui est en soi positif pour l’environnement) ont en fait des impacts majeurs sur les écosystèmes naturels.

La deuxième dépêche : « L’Agence française pour la Biodiversité, le Muséum national d’Histoire naturelle et le CNRS créent un centre d’expertise et de données sur la nature » :

Paris, 11 décembre 2017 L’Agence française pour la Biodiversité, le Muséum national d’Histoire naturelle et le CNRS créent un centre d’expertise et de données sur la nature Le président du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), Bruno David, le directeur général de l’Agence française pour la biodiversité (AFB), Christophe Aubel et la directrice de l’Institut écologie et environnement (INEE) du CNRS, Stéphanie Thiébault, ont signé le 11 décembre 2017 la convention de création de l’Unité mixte de service « Patrimoine naturel » basée au Muséum (UMS PatriNat).

Centre d’expertise et de données sur la nature pour l’ensemble des territoires français, dans les domaines marin et terrestre, cette unité se place en appui aux politiques publiques tout en renforçant les liens entre la recherche et l’expertise environnementale sur les enjeux de connaissance de la nature et de ses interactions avec la société.

Trois institutions rassemblées autour d’une expertise scientifique sur la natureLa création de cette unité au Muséum, dirigée par Jean-Philippe Siblet, répond à une volonté de rapprocher les compétences et les moyens des trois organismes autour d’une expertise forte sur la biodiversité et sur la gestion des connaissances sur la nature.

Enfin, le troisième titre que je retiens n’est autre que « Les acteurs privés, bientôt premiers acteurs de la protection de l’environnement  ? » :

Le 19 septembre dernier, Emmanuel Macron présentait à l’ONU le projet de pacte mondial pour l’environnement.

Initié par Laurent Fabius à l’issue de la COP21, et lancé officiellement le 24 juin 2017 à la Sorbonne, ce texte vise à devenir la pierre angulaire du droit international de l’environnement.

Le projet de pacte mondial pour l’environnement dénote ici par une approche plus moderne, qui emboîte le pas à l’Accord de Paris sur le climat.

Quels sont les nouveaux sigles ?

Il y a 4 sigles qui ne sont pas dans mon inventaire externe mais qui sont bel et bien présents dans ce stock d’archives :

BY, AMSE, USRDS, GETS

Est-ce qu’il est utile de visualiser les définitions, de façon à préparer leur insertion dans le fichier externe ?

Voici la sémantique associée aux nouveaux sigles :

BY
BY À y,
AMSE
Aix Marseille School of Economics,
USRDS
United States Renal Data System,
GETS : Gas and Electricity Trading Simulation

Je profite de l’occasion pour regarder les situations d’emploi de ces sigles :

Romain Garrouste, CC BY Quant à la lutte biologique, elle semble complexe à mettre en oeuvre.

« Tout ce que vous n’avez jamais voulu savoir sur la punaise des lits », TheConversation-France, 11 décembre 2017

Le programme, qui regroupe Santé publique France (SpFrance), Aix Marseille School of Economics (AMSE) – GREQAM (Aix-Marseille Université, AMU), s’appuie sur une évaluation économique des impacts de l’exposition chronique aux particules fines (PM2, 5) sur la mortalité en France continentale.

« Respecter les valeur guides de l’OMS réduirait de 53 mds euros le coût sociétal de la pollution aux particules », Actu Environnement, 11 décembre 2017

Les chercheurs ont analysé les dossiers, provenant de la base d’information du United States Renal Data System (USRDS), de 105174 personnes « ayant reçu une transplantation rénale entre 2004 et 2012 ».

« Receveurs d’un don rein, ils sont plus exposés au risque de développer un mélanome », Genethique, 11 décembre 2017

On peut citer à ce propos le cas du Greenhouse Gas and Electricity Trading Simulation (GETS).

« 1992-2017 := comment les entreprises ont évolué sur la question climatique », TheConversation-France, 11 décembre 2017

Je note les personnalités du jour

Je me replie sur un fil routinisé.

L’état du palmarès des 30 premières personnalités de l’actualité

La structure du palmarès des personnalités est à peu de choses près la même que celle d’hier et que celle de demain. Je me demande d’ailleurs si quelqu’un prend soin de superviser les calculs ! En attendant, entre le 14 septembre 2004 et le 10 décembre 2017, la distribution a la forme suivante :

3052 Sarkozy
2062 Hollande
1694 Obama
958 Fillon
885 Royal
854 Valls
849 Poutine
807 Bush
784 Le Pen
759 Chirac
674 Trump
657 Merkel
609 Clinton
555 Macron
540 Villepin
407 Bayrou
359 Mélenchon
351 Kerry
348 Netanyahu
336 Ayrault
332 Aubry
331 Abbas
316 Erdogan
315 Copé
282 Juppé
282 Kadhafi
270 Fabius
248 Cameron
244 Berlusconi
232 Hamon

Après ce tableau qui donne une sorte de photographie rétrospective, je rappelle les surgissements inédits du jour :

Patrimoine, David_Davis, Damerval, Freysselinard, Ekeland, Chabanel

La nécrologie du jour

On doit la traiter avec davantage de délicatesse et de respect que cela n’a été la cas durant ces funérailles nationales improvisées.

« Le Chanoine, Andorre, La Madeleine, Averroès… », Blog Mélenchon, 11 décembre 2017

Je n’oublie pas mes exercices de géopolitique

J’ai lu dans Le Monde que depuis le 16 janvier 2016, avec la levée de l’essentiel des sanctions économique imposées depuis dix ans à son pays, Hassan Rohani a fait de la République islamique d’Iran un "Etat sinon’normal’, du moins fréquentable. On y enferme et on y pend régulièrement des gens qui dérangent le régime mais c’est redevenu un bon client (Airbus etc.). Ce jour, je vois qu’il en est beaucoup question :

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, en déplacement à Paris, lui a sèchement répondu, affirmant n’avoir « pas de leçons de moralité à recevoir d’un dirigeant qui bombarde des villages kurdes en Turquie, qui emprisonne des journalistes, aide l’Iran à contourner les sanctions internationales et aide des terroristes, notamment à Gaza ».

« International – Jérusalem : Poutine et Erdogan mettent en garde contre un regain de tension », AFP, 11 décembre 2017

A Beyrouth, plusieurs milliers de partisans du Hezbollah ont défilé dans le sud de la capitale libanaise, bastion du puissant mouvement chiite, allié de l’Iran et ennemi d’Israël et qui se veut l’un des champions de la cause palestinienne.

« International – Jérusalem mobilise la rue et la diplomatie », AFP, 11 décembre 2017

La manifestation s’est déroulée au son de musique dance, chose normalement interdite en Iran, et de slogans comme « Les Etats-Unis sont des meurtriers », les « Mères palestiniennes perdent leurs enfants » ou le classique « Mort à l’Amérique ».

« International – Manifestation à Téhéran contre les Etats-Unis et Israël », AFP, 11 décembre 2017

Le Hezbollah, puissant mouvement armé soutenu par l’Iran, est l’ennemi juré d’Israël.

« International – Jérusalem : des milliers de partisans du Hezbollah protestent à Beyrouth », AFP, 11 décembre 2017

La Russie, la Turquie et l’Iran parrainent en effet un accord visant à réduire l’intensité des combats pour préparer le terrain à un accord politique en vue de mettre un terme au conflit.

« International – Poutine ordonne le retrait d’une « partie significative » des forces russes en Syrie », AFP, 11 décembre 2017

Ils ont tous les deux de bonnes relations avec les acteurs qui comptent dans la région et en particulier avec l’Arabie Saoudite et l’Iran, alors même que l’opposition frontale entre ces deux Etats structure les pôles de confrontation dans la région avec un risque sérieux de guerre.

« Jérusalem : après la décision irresponsable de Trump, la France doit s’engager », AFP, 11 décembre 2017

Je passe à la suite !

La folie des « palmarès » et surtout des comparaisons de palmarès m’a pris il y a déjà pas mal d’années et je ne parviens plus à m’en déprendre ! Aujourd’hui, je compare les affaires cumulées sur les 10 derniers jours et l’histoire plus ancienne. ce qui donne les tables suivantes (ça fait un peu greffe de tribunal non ?) :

Affaires anciennes (du 6 décembre 2004 au 1 décembre 2017) :

Affaires récentes :

Un certain jour le bon Dieu,

Sur un gros tas d’merveilles,

Dans un coin du saint lieu

Dormait sur les deux oreilles ;

Un ang’l’éveillant dit : – De quoi ! De quoi !

Est-ce donc pour dormir qu’on vous a fait roi ?

Bah ! Dit le bon Dieu, je suis las des veilles ;

Et puis, vois-tu bien, si j’suis fainéant,

Je m’en fous pas mal, après moi l’néant !

(chanson de goguettes datant de 1844)

Pour en savoir plus, il suffit d’aller par là :

Goguette sur Wikipédia