Paraphrasant Zola, j’ai envie de dire : " la sécurité est en marche et rien ne l’arrêtera !"

29 juillet 2017 23:10:13

En fait, la sécurité du moment est celle-ci :

" Des hommes armés ont lancé une attaque, tiré sur un policier et volé son arme ", a déclaré à l’AFP le responsable de la sécurité.

« Kenya : la maison du vice-président attaquée par des hommes armés », AFP, 29 juillet 2017

C’est le 29 juillet 2006 que l’historien Pierre Vidal-Naquet est mort – des suites d’une attaque cérébrale. Il venait d’avoir 76 ans. Grand spécialiste de la Grèce antique, Pierre Vidal-Naquet fut toute sa vie un intellectuel engagé dans la cité, dont les combats les plus retentissants furent menés contre la torture et la guerre en Algérie, et contre Robert Faurisson et les négationnistes des chambres à gaz.

O quelles noirceurs l’homme peut cacher en lui-même, quoiqu’il paraisse un ange à l’extérieur ! Comme l’hypocrite vivant dans le crime, abusant tout le monde, attire à lui, avec de fragiles fils d’araignée, des choses substantielles et de poids !

William Shakespeare, Mesure pour Mesure, Acte III, scène 2


On arrive au bout de l’intro : j’ai fait les salutations d’usage, j’ai réagi adéquatement à la date du jour (ce qui sert de test de bon fonctionnement du module Lisp…), j’ai extrait une citation de ma base, je ne vois pas trop quoi ajouter… Par pure curiosité, j’ai ouvert un fichier externe intitulé “bons mots”, ça fera l’affaire :
Scribantur haec in generatione altera” ; autrement dit : “On écrira ceci pour l’âge à venir”
( !)

Faire sa chronique ou laver de la vaisselle pour un genre d’ia c’est du pareil au même

Il est nettement établi que les individus contemporains ont de plus en plus de défiance vis-à-vis des sciences et des technologies. Cela tient en partie au fait qu’ils ne parviennent plus à séparer le vrai du faux. Outre les charlatans et les illusionnistes, comme dirait Bernard Lahire, dont la prolifération met en danger la République, l’irrationnel est diffusé par la convergence de deux déries causales : la facilité avec laquelle rumeurs et croyances circulent sur Internet ; la souveraineté acquise par la pensée postmoderne, le participationnisme et le tout-principe-de-précaution. Dénoncer la science et déconstruire son autonomie, mettre des illettrés dans les commissions scientifiques, voir des menaces partout et surexpliquer la moindre incertitude, telles sont les propensions qui rendent nécessaire le combat contre ceux qui s’opposent au gouvernement éclairé par la science, dans l’esprit des Lumières : peur, idéologie, mythe, peurs, mythes, magie, obscurantisme, fable… Face à la déraison, l’AFIS maintient une vigilance critique et promeut une information conçue de façon cohérente fondée sur l’épistémologie cartésienne et l’esprit de méthode, l’authenticité et l’administration de la preuve.

Aussi, il est urgent de remettre les sciences au coeur de nos démocraties ! L’actualité ne cesse d’en certifier la nécessité :

Il est urgent de faire taire les « donneurs d’alerte » qui n’ont de cesse d’instiller la peur, comme le montre ce qui va suivre.

La ronde des alertes et des risques ressemble à un miroir aux alouettes et les gens ordinaires, crédules par nature, finissent par avoir peur de leur ombre. Il suffit de dresser la table de ces supposés dangers auxquels est appliqué sans discernement le principe de précaution :

23 objets d’alerte ou assimilés sont ainsi présents dans ces 143 dépêches : attentat, incendie, nucléaire, attentats, incendies, terrorisme, terroristes, drogue, choléra, biodiversité, bruit, terroriste, pesticides, sécheresse, canicule, poussière, plomb, cigarettes, pluies torrentielles, tsunami, algues vertes, gaz de schiste, poison… Les exemples suivants montrent à quel point l’irrationalité est au rendez-vous dans l’espace politico-médiatique :

attentat :

Vous trouvez tout cela inutile ? C’est toujours plus cohérent que de s’exciter contre les vagues de réfugiés… C’est toujours plus efficace que de venir pleurer après chaque nouvel attentat.

« Yémen, le pays martyr », Agoravox, 29 juillet 2017

incendie :

C’est aussi le message de Vincent Pastor, expert du Service départemental d’incendie et de secours dans les Bouches-du-Rhône, interrogé par Libération : " On pourrait éviter une grande partie de ces incendies accidentels.

« Incendies : comment travaillent les enquêteurs chargés de déterminer l’origine d’un feu  ? », franceinfo, 29 juillet 2017

nucléaire :

Pour les Européens, les deux dossiers – nucléaire et balistique – doivent être traités de manière distincte.

« L’Iran dit poursuivre son programme balistique et condamne les nouvelles sanctions », AFP, 29 juillet 2017

attentats :

Tout cela bien sûr, sans ralentir la cadence des attentats (61). D’émergence plus récente au Yémen (elle n’y était pas présente avant 2014), l’organisation Etat Islamique a elle aussi su profiter du chaos ambiant.

« Yémen, le pays martyr », Agoravox, 29 juillet 2017

incendies :

Localiser le départ du feuLorsque la cause des incendies est inconnue, les enquêteurs activent une cellule RCCI (Recherche des causes et circonstances des incendies).

« Incendies : comment travaillent les enquêteurs chargés de déterminer l’origine d’un feu  ? », franceinfo, 29 juillet 2017

terrorisme :

Elargissement des compétences du système judiciaire,, pour en finir avec les crimes et délits impunis, particulièrement ceux commis contre les personnes, ainsi que ceux qui sont commis contre la Patrie et la société, comme la corruption, la contrebande aggravée [ contrevenant à la loi dite des « Precios Justos », Prix Justes, NdT ], la spéculation, le terrorisme, le trafic de stupéfiants, la promotion de la haine sociale et l’ingérence extérieure.

« Venezuela – Quels sont les enjeux du vote du 30 juillet pour l’Assemblée Nationale Constituante ? », Agoravox, 29 juillet 2017

terroristes :

Un pays où on recrute probablement aujourd’hui les terroristes de demain.

« Yémen, le pays martyr », Agoravox, 29 juillet 2017

drogue :

Plusieurs médias, citant des « sources proches de l’enquête », affirmaient, dès vendredi soir, que l’individu aurait des contacts dans les milieux salafistes, qu’il aurait des problèmes mentaux et consommerait régulièrement de la drogue.

« Hambourg  : l’agresseur au couteau était connu de la police comme «  islamiste  » », Le Monde, 29 juillet 2017

choléra :

Trois jours plus tôt, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres avait de son côté dénoncé « la plus grande crise alimentaire du monde », avec « 17 millions de personnes souffrant de malnutrition sévère » et « un enfant de moins de 5 ans mourant toutes les dix minutes de causes évitables » (29). Une famine en pleine expansion, puisque l’ONU avait avancé quelques mois plus tôt (fin 2016 – début 2017)(30) le chiffre de « sept millions de Yéménites touchées » (soit près de 2,5 fois moins).Et peu après (fin avril), c’est un autre fléau qui faisait son apparition : une épidémie de choléra, laquelle avait elle aussi « décidé » de se propager de façon exponentielle : 34 morts et 2022 cas de diarrhée sévère entre le 27 avril et le 7 mai, puis 1587 morts et 262649 cas suspects entre le 27 avril et le 2 juillet (chiffres de l’OMS) (31). Encore récemment (dans un communiqué du 10 juillet), le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) évoquait une « progression incontrôlée » touchant « 7000 nouveaux cas chaque jour » (32). Que dire d’autre sur la désastreuse situation Yéménite ? Que le pays est en ruine (la plupart de ses hôpitaux, écoles, routes… ayant été détruits), qu’il manque de tout (nourriture, médicaments, essence, personnel médical…), que les organisations humanitaires se déclarent elles-mêmes « incapables de mettre en oeuvre leur mandat humanitaire », que bon nombre d’enfants ont été enrôlés de force dans les combats (côté coalition comme côté Houthis), que le conflit a engendré des déplacements de populations sans précédent (soit plus de 3 millions de personnes à l’intérieur du pays), que ces mêmes populations ne peuvent pas fuir le pays (qui est enclavé entre le désert saoudien, la Mer Rouge et le Golfe d’Aden) (33)… Le cynisme des puissances occidentales L’Arabie Saoudite est l’un des pays les plus tyranniques et les plus rétrogrades de la planète ; un pays qui persécute ses opposants politiques, pratique la discrimination religieuse, bafoue les droits les plus élémentaires (liberté d’expression, d’association…), pratique l’esclavage (aussi bien domestique que sexuel), infériorise les femmes (les plaçant sous l’autorité d’un « gardien » masculin, leur interdisant de conduire…), pratique les châtiments corporels, exécute à tour de bras (en offrant des spectacles de décapitation et de crucifixion sur la place publique),… (34). Cela n’a pas empêché le prix Nobel de la paix Obama de vendre à ce pays (un pays avec lequel les Etats-Unis entretiennent des « rapports étroits et forts » selon ses propres termes, « un proche allié » selon son secrétaire d’état John Kerry), pour 112 milliards de dollars d’armement en huit ans (35). Un partenariat que n’a nullement entaché le conflit Yéménite, comme a pu en témoigner le contrat d’1,15 milliard d’euros signé en août 2016 entre Washington et Riyad (36). Et comme on pouvait en douter, les choses ne se sont pas arrangées avec Trump.

« Yémen, le pays martyr », Agoravox, 29 juillet 2017

biodiversité :

Moins de graines que dans le passé « Une prairie fleurie, c’est une prairie où il y a une belle biodiversité de plantes à fleurs, de graminées, où on retrouve 30, 40 espères de plantes », explique Emmanuel Cretin du syndicat mixte de la Loue.

« Biodiversité : les bienfaits des prairies fleuries », franceinfo, 29 juillet 2017

Contre la régression épistémologique et pour le retour aux épreuves de vérité, rien de tel que la lecture ou la relecture de Popper :

Toute mise à l’épreuve véritable d’une théorie par des tests constitue une tentative pour en démontrer la fausseté (to falsify) ou pour la réfuter. Pouvoir être testée c’est pouvoir être réfutée ; mais cette propriété comporte des degrés : certaines théories se prêtent plus aux tests, s’exposent davantage à la réfutation que les autres, elles prennent, en quelque sorte, de plus grands risques. On ne devrait prendre en considération les preuves qui apportent confirmation que dans les cas où elles procèdent de tests authentiques subis par la théorie en question ; on peut donc définir celles-ci comme des tentatives sérieuses, quoique infructueuses, pour invalider (to falsify) telle théorie (j’emploie désormais pour les désigner le terme de’preuves corroborantes’).

Karl R. Popper, Conjectures et réfutations

Le lecteur est donc invité à se rendre sur le site de l’AFIS, pour y découvrir les réquisitoires de Yann Kindo et, dans la foulée, à lire les ouvrages stimulants du sociologue Gérald Bronner qui remet enfin les pendules à l’heure.

D’ailleurs, il est 23h11, sortons de cette boucle qui simule la prose des rationalistes indignés, pour revenir au fil routinisé de la chronique…

Quels sont les nouveaux sigles ?

J’ai dénombré 14711 sigles dans mon recueil et après recoupement j’en trouve 3 qui n’y figurent pas. Je propose de les visualiser.

Le calcul prend de plus en plus de temps, il me faudrait un nouveau protocole d’indexation des noms de sigles – mais j’ai la sensation de me répéter inutilement…

RCCI
Recherche des causes et circonstances des incendies,
EFSNA
Emergency Food Security and Nutrition Assessment,
CRNI
Cartoonists Rights Network International

Je note les personnalités du jour

Comme je suis dans les nuages ce soir, j’affiche la liste des personnalités du jour sous la forme d’un nuage de tags !

L’état du palmarès des 30 premières personnalités de l’actualité

Je laisse de côté ce coup-ci le grand palmarès qui totalise les présences en tête de liste sur l’ensemble de la série de dépêches traitées (soit du 14 septembre 2004 au 28 juillet 2017) pour faire un focus sur une période plus courte, que j’ai fixée à 183 jours pour cette réunion, soit du 26 janvier 2017 au 28 juillet 2017 :

182 Trump
182 Macron
157 Hollande
141 Le Pen
134 Mélenchon
124 Fillon
118 Hamon
103 Poutine
89 Sarkozy
75 Merkel
57 May
50 Valls
45 Erdogan
44 Bayrou
34 Maduro
32 Dupont-Aignan
31 Juppé
27 Ferrand
27 Obama
26 Chirac
25 Edouard_Philippe
22 Hulot
22 Asselineau
20 Tillerson
19 Clinton
18 Jadot
18 Poutou
17 Philippot
17 nil
14 Mitterrand

On retrouve plus nettement les structures actantielles de l’actualité récente !

La nécrologie du jour

Balada para mi muerte por Mina, con el genio de Piazzolla Increíble la poesía de Horacio Ferrer

La géopolitique m’a toujours intéressé

Géopolitologie ? Hum, c’est un truc de Science Politique ça. J’ai une catégorie rassemblée sous l’appellation de « Géopolitologie ». Je n’ai aucune idée a priori de son « rendement cognitif ». Il n’est pas très difficile d’isoler les dépêches les plus prototypiques de la catégorie « Géopolitologie ». J’en ouvre 5 – il n’est pas exclu qu’il y ait des redites, on va voir ça…

La première dépêche est celle-ci : « Venezuela – Quels sont les enjeux du vote du 30 juillet pour l’Assemblée Nationale Constituante ? ». On y lit :

La constitution de l’ANC obéira à la structure géopolitique de l’Etat fédéral et décentralisé, sur la base de l’unité politique primaire de l’organisation territoriale consacrée par la Constitution.

Sur la victoire contre la violence fasciste, incarnée dans l’opposition politique et économique, locale et internationale soutenue par la propagande impériale et quelques gouvernements complices, et par les groupes paramilitaires présents aujourd’hui au Venezuela.

La deuxième : « International – Tchad : la répression se durcit chez l’allié africain de l’Occident, selon des témoignages ». Voici les énoncés relevant du registre Géopolitologie :

" Aujourd’hui, le gouvernement du Tchad est appuyé par les pays occidentaux au nom de la lutte contre le terrorisme.

- Préoccupation des Occidentaux -Ces mauvais traitements sont pratiqués au secret dans des centre de détention « non-officiels », d’après Amnesty International.

La troisième dépêche a pour titre « L’Iran dit poursuivre son programme balistique et condamne les nouvelles sanctions ». Les extraits qui s’imposent ici :

Pour Bahram Ghassemi, cette « loi concerne les sanctions non-nucléaires (…) mais vise à affaiblir l’accord nucléaire » conclu le 14 juillet 2015 à Vienne entre l’Iran et les grandes puissances, dont les Etats-Unis.

Aux yeux des Américains et des Européens, ce programme balistique « reste incompatible avec la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU (votée en 2015 après l’accord nucléaire) et a un impact déstabilisateur dans la région ».

Mais cette résolution « appelle (aussi) l’Iran à ne pas entreprendre d’activités liées à des missiles balistiques et capables de porter des armes nucléaires ».

L’Iran rejette ces accusations en affirmant que ses missiles ne sont « conçus » pour porter des charges nucléaires et que le pays n’a pas l’intention de produire des bombes atomiques, comme l’a encore affirmé le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif vendredi en réponse à Washington.

Quatrième texte de la série Géopolitologie : « L’UE se rebiffe, la Russie tape du poing sur la table et l’Ukraine risque un nouveau Maïdan – L’entropie du système global s’affole ». On peut y lire surtout :

C’est par la voix du chef de la diplomatie fédérale Sigmar Gabriel, que l’Allemagne a fait savoir qu’elle estime que ces sanctions sont inacceptables car elles portent atteinte aux intérêts des sociétés européennes.

Cette fois c’est la goutte d’eau qui fait « déborder le vase de la patience de la Russie » (et Dieu sait qu’il était très grand ce vase), dixit le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Riabkov.

Comme Sigmar Gabriel, le président russe a souligné que ces sanctions avait pour but évident d’user de l’avantage géopolitique des Etats-Unis pour favoriser leurs entreprises dans un domaine qui est censé être concurrentiel.

En guise de première réponse, la Russie a imposé une réduction des effectifs de l’ambassade et des consulats américains en Russie, avec obligation de ramener le tout d’ici le 1er septembre à 455 personnes, soit strictement le même nombre que celui du personnel diplomatique russe se trouvant aux Etats-Unis suite à l’éviction de 35 diplomates russes l’an passé.

Enfin, j’ai retenu cette autre dépêche : « Yémen, le pays martyr ». Quelques énoncés pour finir :

Ainsi, ce que l’on a souvent présenté comme une simple guerre civile, une lutte de factions pour le pouvoir, correspond en vérité à un conflit beaucoup plus large, mêlant l’influence géostratégique des puissances régionales et les intérêts économiques des grandes puissances mondiales.

Du parti-pris international au blanc-seing donné à l’Arabie Saoudite S’il est des conflits pour lesquels le conseil de sécurité de l’ONU est resté passif (4), ce n’est pas le cas du conflit Yéménite.

Attention, il ne s’agit pas ici de prendre la défense des Houthis et encore moins celle de l’ancien président Saleh (dont le cynisme et l’arrivisme politique ne sont plus à prouver (7)), mais de montrer comment la « communauté internationale » a transformé un conflit interne de courte durée (et pratiquement terminé) en une guerre multinationale interminable.

Par là, il s’agit aussi de mettre en exergue le « deux poids deux mesures » opéré par cette même communauté internationale, toute aussi prompte à soutenir certaines « bonnes » révoltes (quitte à engendrer le chaos et des désastres humanitaires, comme en Libye et en Syrie) qu’à soutenir des régimes autocratiques « amis » (comme en Tunisie ou au Bahreïn pendant la période des printemps Arabes).

Je passe à la suite !

Pour des raisons assez de bon sens, je m’intéresse spécialement aux affaires de diffamation. Je stocke de manière un peu chaotique toutes sortes d’informations, qu’il va bien falloir m’aider à trier un peu mieux. Par exemple ça :

Le droit britannique et américain fait la distinction, en matière de dénigrement de la personne, entre la diffamation (libel) et la calomnie (slander). La première suppose l’expression durable – par écrit ou sur tout autre support – d’allégations mensongères susceptibles de porter atteinte à la réputation du plaignant. A l’opposé, la seconde concerne des paroles – ou toute autre communication éphémère – mensongères ayant déjà porté atteinte à la réputation du plaignant.

Et ce jour, au rayon des affaires, je lis ceci :

Parmi les infractions concernées : les faits de discrimination, injure ou diffamation publique, provocation à la haine raciale, sexiste ou à raison de l’orientation sexuelle.

« Moralisation de la vie politique : ce que contient finalement la loi », AFP, 29 juillet 2017

Le fil de commentaires ci-dessous reste désespèrement vide, merci de me contredire sur-le-champ !